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Hambourg, Allemagne, le 26 juillet 2023

  • Hausse significative du volume d’investissement en Europe de l’Est et de l’Ouest
  • La collaboration internationale et la numérisation prennent de plus en plus d'importance
  • Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) : le rapport combiné d’activité et de développement durable se réfère pour la première fois à la Global Reporting Initiative (GRI)
Le groupe EOS a connu une croissance importante au cours de l’exercice 2022/23. Cet important investisseur des secteurs des créances douteuses, des portefeuilles de créances et de biens immobiliers en Europe, et expert dans le traitement des créances impayées a réalisé un BAIIDA de 445,9 millions d’euros tout juste pendant l’exercice 2022/23. La progression significative du volume d’investissement de 668,6 millions d’euros (exercice précédent) à 1,2 milliard d’euros a largement contribué à ce succès. EOS a alors investi dans des ensembles de créances aussi bien avec que sans garanties. 

Une excellente performance opérationnelle

L’excellent traitement des portefeuilles existants des créances douteuses (non-performing loans) des années précédentes a également contribué à augmenter le résultat et le chiffre d’affaires de l’exercice 2022/23. À ce sujet, Marwin Ramcke, CEO du groupe EOS, fait la déclaration suivante : « Au regard de la situation politique et macroéconomique internationale, une telle croissance était imprévisible au début de l’exercice. Réaliser un tel résultat en ces temps difficiles est surtout le fruit de l’engagement de nos quelque 6 000 collaborateurs. »

La large palette d'activités du groupe EOS, qui compte 24 sociétés nationales en Europe a également eu un effet positif sur le résultat global, explique le CFO du groupe EOS, Justus Hecking-Veltman. « Notre diversification nous garantit une grande stabilité en tant que groupe. Nous ne dépendons pas des marchés individuels. Notre longue expertise en tant qu’acheteur de portefeuilles de créances douteuses, mais aussi notre patience sur certains marchés ont porté leurs fruits cette année », assure Monsieur Hecking-Veltman. 

L’Europe de l’Est continue sur sa lancée avec un niveau d’investissement élevé 

Avec 42 %, l’Europe de l’Est reste la région générant le plus important chiffre d’affaires du groupe EOS. Par rapport à l’exercice précédent, les sociétés nationales d’Europe de l’Est ont même pu accroître leur chiffre d’affaires de tout juste 50 %. « Avec un volume d’investissement de près de 400 millions d’euros, nous avons continué sur notre lancée », explique Carsten Tidow, membre de la direction et responsable de la région Europe de l'Est. Il explique qu’en plus des investissements toujours élevés en Grèce, en Pologne et en Croatie, un petit pays comme la Bosnie-Herzégovine, où l’activité liée aux portefeuilles de créances douteuses avec garanties a augmenté de manière significative, en est un exemple.

L’Europe de l’Ouest quadruple son volume d’investissement 

En Europe de l’Ouest, le groupe EOS a réussi à plus que quadrupler son volume d’investissement qui s’élève à 612 millions d’euros. Cette progression est principalement due aux marchés français et espagnol, explique Dr Andreas Witzig, membre du conseil d’administration et responsable de la région Europe de l’Ouest. Il convient également de mentionner le Portugal dans ce contexte : « Nous n’y avons créé notre société nationale qu’en 2022. Aujourd’hui cependant, plus de 20 collaborateurs sont actifs sur le marché des créances douteuses portugais où ils ont pu conclure de premiers achats. » L’implémentation du système de recouvrement Kollecto+ interne du groupe, qui est déjà utilisé dans huit pays par EOS et qui crée des synergies importantes a également contribué à ce bon départ. 

Forte pression de la concurrence en Allemagne

Le groupe EOS a enregistré un recul de son chiffre d’affaires sur le marché allemand. La principale raison en est la forte pression exercée par la concurrence, affirme Andreas Kropp, directeur d’EOS Deutschland. « Le marché allemand des créances douteuses est le plus établi de tous ceux sur lesquels notre groupe opère. Les concurrents sont nombreux, ce qui génère un niveau de prix des portefeuilles élevé La connexion au système d’encaissement Kollecto+ interne de notre groupe représente pour nous une étape importante pour agir plus efficacement et augmenter notre compétitivité », poursuit Monsieur Kropp. 

« Le recouvrement implique d’assumer des responsabilités »

Pour la première fois, le groupe EOS publie un rapport combiné d’activité et de développement durable. Celui-ci s’appuie sur les normes de la Global Reporting Initiative (GRI) et illustre la manière dont EOS soutient les objectifs de développement durable des Nations Unies. 
« Nous avons toujours dit que le recouvrement impliquait d’assumer des responsabilités. La responsabilité sociétale des entreprises est donc depuis longtemps un enjeu majeur pour nous », souligne le CEO, Marwin Ramcke. « Nous voulons nous améliorer jour après jour. Les normes GRI nous aident à démontrer avec transparence à quel point notre action est durable et ce que nous réalisons dans ce domaine. » Outre les questions environnementales classiques, la gestion équitable des consommateur.rice.s en défaut de paiement joue également un rôle important, selon Andreas Kropp. « Nous voulons les aider à se désendetter le plus rapidement possible. Pour cela, nous proposons différents services qui permettent, par exemple, de payer de manière anonyme et à tout moment. Sur le portail de services allemand, chaque consommateur.rice peut de plus définir ses propres échéances. » 

À propos du groupe EOS

Le groupe EOS est un important investisseur dans les portefeuilles de créances reposant sur la technologie et un expert dans le traitement des créances impayées. Avec près de 50 ans d’expérience et des sites dans 24 pays, EOS offre des services intelligents en matière de gestion des créances dans le monde entier. Le groupe se concentre alors sur les banques ainsi que les entreprises des secteurs de l’immobilier, des télécommunications, des fournisseurs d'énergie et du commerce en ligne. EOS emploie plus de 6 000 personnes et fait partie du groupe Otto.

Informations complémentaires sur le groupe EOS : www.eos-solutions.com
EOS consolidated revenue by region 2022-23
EOS investments in debt purchases and real estate in 2022-23
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Sarah El Jobeili
Corporate Communications & Marketing du groupe EOS
Courriel : presse@eos-solutions.com
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Hambourg, Allemagne, le 15 mars 2023

  • L’inflation et les coûts de l’énergie principalement sont à l’origine des nouvelles dettes
  • Les consommateur.rice.s économisent avant tout sur les voyages, les sorties au restaurant et les vêtements neufs
  • Une grande partie des Européen.ne.s s’inquiètent pour leur avenir

L’augmentation très rapide des taux d’inflation ainsi que la crise de l’énergie entraînent chez la plupart des Européen.ne.s (53 pour cent) une sensibilité accrue pour les prix. Parallèlement, un cinquième d’entre eux/elles environ a contracté de nouvelles dettes au cours des six derniers mois. C’est ce qu’a révélé l'étude consommateurs représentative EOS 2023 « Europeans in financial trouble? » pour laquelle 7 700 consommateur.rice.s de 13 pays européens ont été interrogé.e.s. 

Les consommateur.rice.s d’Europe de l’Est en moyenne plus touché.e.s par les nouveaux endettements

Les consommateur.rice.s ont veillé de manière ciblée à leurs dépenses en particulier dans les pays d’Europe de l’Est, tels que la Roumanie (67 pour cent), la Hongrie (66 pour cent) et la Tchéquie (63 pour cent). Au niveau de l’Europe dans son ensemble, les personnes interrogées ont indiqué avoir réduit leurs dépenses avant tout dans les domaines des voyages ainsi que de la culture et des loisirs (33 pour cent chacun), mais aussi des vêtements neufs (28 pour cent). Parallèlement, une personne sur cinq environ a contracté de nouvelles dettes au cours des six derniers mois. Les principales raisons à cela ont été avant tout l’inflation (49 pour cent) et l’augmentation des coûts de l’énergie (27 pour cent). 

Les dettes ont été contractées plus souvent dans les pays d’Europe de l’Est, tels que la Roumanie et la Hongrie (respectivement 30 pour cent) ainsi que la Macédoine du Nord (29 pour cent) et la Serbie (28 pour cent) que la moyenne européenne. Les Européen.ne.s de l’Ouest ont eu recours à de nouveaux endettements plus souvent (18 pour cent) pour voyager, contrairement aux Européen.ne.s de l’Est qui se sont endetté.e.s essentiellement pour payer leur chauffage et leur électricité (28 pour cent). 

« Les dettes ne sont pas gênantes uniquement en temps de crise. Lorsqu'elles touchent le chauffage et l'électricité, elles révèlent des problèmes de liquidités existentiels. Il est donc d'autant plus important d’aller à la rencontre de ces personnes avec empathie et respect et d’élaborer pour elles des solutions taillées sur mesure, telles que des accords communs de mensualité et des montants de versements uniques » explique Bartosz Jurczyk, Operations and Strategy Division Director chez EOS en Pologne. L’objectif d’EOS est de toujours aider ces personnes à trouver une solution adaptée et rapide pour réduire leurs dettes, poursuit M. Jurczyk. 

Lors de la recherche de solutions sur mesure pour les consommateur.rice.s défaillant.e.s, nous nous appuyons sur des modèles de données et de prises de décisions analytiques qui nous permettent de déterminer avec précision les canaux de communication et les méthodes de paiement individuels que les consommateur.rice.s préfèrent. « Cela signifie que les activités de recouvrement sont déjà taillées sur mesure sur la personne correspondante dans notre système », expliqueMirjana Ćevriz, business analyst et spécialiste de l’assistance application chez EOS en Serbie.  

L’inflation, la plus grande inquiétude pour l’avenir

L’inflation élevée et la croissance rapide des coûts de l’énergie ont provoqué une peur pour leur avenir financier chez tout juste les trois quarts des consommateur.rice.s interrogé.e.s (73 pour cent). L’inquiétude relative au chômage préoccupe en particulier les 18-34 ans. « Cette étude montre que l’inflation ne laisse pas les consommateur.rice.s indifférent.e.s », résume Marwin Ramcke, CEO du groupe EOS. « En particulier en période de crise, il est souvent impossible d’éviter les dettes. Elles permettent de surmonter les difficultés à court terme et même de sauver des existences. Il est important pour nous, qui sommes un des leaders européens parmi les sociétés de recouvrement, d’apporter aux consommateur.rice.s un support juste dans le remboursement de leurs dettes. » Cela permet de les aider personnellement, mais aussi de soutenir l’économie dans laquelle cet argent est réintroduit, poursuit M. Ramcke.

L’argent liquide particulièrement populaire

Outre un comportement financier plus responsable vis-à-vis des prix plus élevés, cette étude montre également un changement dans l’utilisation des méthodes de paiement. 42 pour cent ont indiqué avoir eu recours à l’argent liquide plus souvent qu'avant au cours des six derniers mois. C’est avant tout en ce qui concerne le groupe des 18-34 ans, dont tout juste la moitié a utilisé l'argent liquide plus souvent, que ce résultat est particulièrement surprenant. Parallèlement, cette étude a également révélé que ce groupe d’âge utilisait des méthodes de paiement plus variées. 

À propos de l’étude d’EOS « Europeans in financial trouble? » Étude consommateurs EOS

Entre le 3 et le 9 février 2023, EOS a interrogé via un formulaire en ligne 7 700 consommateur.rice.s de 13 pays européens en collaboration avec la société Dynata, spécialisée dans les enquêtes en ligne. Cette étude s’est alors concentrée sur la question de savoir comment les six derniers mois avaient influencé leur propre comportement de consommation ainsi que leur situation financière. 

À propos du groupe EOS

Le groupe EOS est un important investisseur dans les portefeuilles de créances reposant sur la technologie et un expert dans le traitement des créances impayées. Avec plus de 45 ans d’expérience et des sites dans 25 pays, EOS offre à ses 20 000 client·e·s dans le monde entier des services intelligents en matière de gestion des créances. Le groupe se concentre alors sur les banques ainsi que les entreprises des secteurs de l’immobilier, des télécommunications, des fournisseurs d'énergie et du commerce en ligne. EOS emploie plus de 6 000 personnes et fait partie du groupe Otto.

Informations complémentaires sur le groupe EOS : www.eos-solutions.com

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Basil Schneuwly, Manager Marketing & Communication
E-Mail: b.schneuwly@eos-solutions.com
Tel.: + 41 58 411 73 03

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Kloten, 5 octobre 2022

  • Près d’une entreprise sur quatre s’attend à une détérioration de son expérience de paiement
  • Une facture sur cinq est payée en retard en Europe de l’Ouest et même une sur quatre en Europe de l’Est
La morale de paiement en Europe s’est détériorée au cours des trois dernières années. Pour près d’une entreprise sur cinq, cette tendance suscite des inquiétudes sur son avenir. C’est ce qui ressort de la 13e étude représentative d’EOS « Habitudes de paiement des Européens » pour laquelle 3 200 entreprises de 16 pays européens ont été interrogées. 

Bien que les entreprises aient allongé les délais de paiement, ce sont surtout les particuliers qui ont réglé leurs factures avec 19 jours de retard en moyenne. Comparé à l’étude précédente de 2019, où 16 % des factures des particuliers étaient payées en retard voire pas du tout, ce chiffre atteint déjà 20 pour cent dans l’étude actuelle. Les entreprises interrogées expliquent ce mauvais comportement de paiement principalement par les problèmes de liquidités de leurs client·e·s. 

Comme conséquence de ces retards et difficultés de paiement, les entreprises déclarent être elles-mêmes le plus souvent confrontées à des problèmes de liquidités (42 %) et à des pertes de bénéfices (51 %). Pour les compenser, près d’un tiers des entreprises a dû réduire ses investissements et augmenter ses prix. Par conséquent, elles sont pessimistes pour l’avenir. Alors qu’en 2019, 22 % des entreprises interrogées s’attendaient encore à une amélioration de la morale de paiement, près de 24 % d’entre elles s’attendent aujourd’hui à une nouvelle détérioration. Les prévisions par rapport à 2019 sont particulièrement réduites, notamment au Danemark, en Suisse, en Slovaquie, en République tchèque, en Slovénie et en Bulgarie. « Il est inquiétant de constater que la morale de paiement se soit nettement dégradée ; d’autant plus que nous devons nous attendre à une nouvelle baisse du niveau de paiement au vu des chiffres économiques actuels et de la forte inflation », déclare Marwin Ramcke, CEO du groupe EOS.

Professionnalisation de la gestion des créances

Pour recouvrer leurs créances, de plus en plus d’entreprises collaborent avec des prestataires de services externes de gestion des créances. « Le manque de liquidités est l’une des causes les plus fréquentes des faillites et des pertes d’emplois. » Les entreprises européennes devraient donc professionnaliser davantage leur gestion des créances et envisager une collaboration avec des partenaires externes, recommande Monsieur Ramcke. 

La professionnalisation de la gestion des créances est particulièrement développée en Europe de l’Est. Près de la moitié des entreprises y font déjà appel à des spécialistes externes. « C’est justement au vu de chiffres économiques difficiles que les sociétés de recouvrement sont un soutien important pour les entreprises et le secteur économique, car elles permettent de retrouver une liquidité », explique Christina Schulz, responsable de la Division Management Europe de l’Est chez EOS. 

Extension des méthodes de paiement numériques 

Parallèlement, le développement des méthodes de paiement numériques devient de plus en plus important pour les entreprises. Depuis 2019, cette tendance s’est nettement accentuée en Europe, tant de l’Ouest que de l’Est. Avec une augmentation de 20 %, les entreprises d’Europe de l’Est ont presque doublé leur offre de modes de paiement numériques. Le mode de paiement Buy Now, Pay Later (BNPL) gagne également en importance : quatre entreprises européennes sur dix considèrent ce mode de paiement comme une nouvelle carte de crédit incontournable dans leur offre de paiement. 

Concernant l’étude EOS « Habitudes de paiement des Européens » 

Entre le 4 mars et le 19 avril 2022, EOS et l’institut d’études de marché indépendant Kantar ont interrogé par téléphone 3 200 entreprises de 16 pays européens sur les habitudes de paiement dans leur pays. 200 entreprises (générant un chiffre d’affaires annuel de plus de cinq millions d’euros chacune) de Belgique, Bulgarie, Croatie, Danemark, France, Allemagne, Grèce, Grande-Bretagne, Pologne, Roumanie, Suisse, Slovaquie, Slovénie, Espagne, République tchèque et Hongrie ont répondu au printemps 2022 à des questions sur leurs propres expériences en matière de paiement ainsi que sur des sujets actuels touchant à la gestion des risques et aux créances. Cette étude a été réalisée par EOS pour la 13e fois.

À propos du groupe EOS

Le groupe EOS est un important investisseur dans les portefeuilles de créances reposant sur la technologie et un expert dans le traitement des créances impayées. Avec plus de 45 ans d’expérience et des sites dans 25 pays, EOS offre à ses 20 000 client·e·s dans le monde entier des services intelligents en matière de gestion des créances. Le groupe se concentre alors sur les banques ainsi que les entreprises des secteurs de l’immobilier, des télécommunications, des fournisseurs d'énergie et du commerce en ligne. EOS emploie plus de 6 000 personnes et fait partie du groupe Otto.

Informations complémentaires sur le groupe EOS : www.eos-solutions.com

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Basil Schneuwly, Manager Marketing & Communication
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  • Des progrès significatifs vers la numérisation complète du groupe d’entreprises
  • Une année record dans le secteur du rachat de créances avec 669 millions d’euros au total investis dans les créances douteuses et l’immobilier
Hambourg / Kloten, le 20 juillet 2022  – Le groupe EOS, investisseur international dans les portefeuilles de créances et prestataire de services de recouvrement reposant sur la technologie, dont le siège social se situe à Hambourg, a poursuivi son développement de manière satisfaisante et stable au cours de l’exercice turbulent 2021/22. Malgré la pandémie de coronavirus et un environnement de marché toujours plus agressif, le chiffre d’affaires global du groupe a connu une hausse de 1,6 %. Au total, un résultat avant intérêts, impôts et amortissements (EBITDA) de 282,5 millions d’euros a été atteint, soit une légère baisse par rapport à l’exercice précédent (312,4 millions d'euros). Cela s’explique en premier lieu par la guerre en Ukraine et les mesures de précaution prises par EOS relatives à son bilan. Le résultat de l’ensemble de l’exercice est néanmoins positif : en effet, les 24 pays dans lesquels EOS est actif ont une nouvelle fois réalisé une forte performance opérationnelle.

« Nous devons le succès de l’année dernière tout d’abord à nos plus de 6 000 collaborateurs qui permettent à EOS de travailler chaque jour de façon plus dynamique et plus numérique dans une période volatile », explique Marwin Ramcke, CEO du groupe EOS. « L’exercice écoulé se distingue principalement par trois aspects : tout d’abord, nous avons pu développer nos compétences clés dans l’achat et le traitement des créances en souffrance et faire nos preuves en tant qu’experts. Ce travail a été complété par une excellente collaboration internationale et une coopération transnationale entre nos sites situés dans 24 pays. Enfin, l’automatisation croissante nous a permis d’améliorer en continu nos processus commerciaux. Des performances dont nous tous, en tant qu’équipe, pouvons être très fiers dans une année de défis », poursuit Monsieur Ramcke.
CEO du groupe EOS

EOS renforce sa position de leader et poursuit la numérisation

Avec le temps, le groupe EOS a acquis une très bonne réputation, aussi bien comme prestataire international de services de recouvrement que comme investisseur dans les cahiers de revendications (créances douteuses). Grâce à la solidité financière du groupe Otto, EOS a de nouveau pu réaliser des investissements significatifs sur le marché des créances douteuses. La nette focalisation sur l’automatisation des processus ainsi que l’utilisation d’un logiciel de recouvrement axé sur les données permettent également de traiter les créances de manière plus performante et plus efficace.

« Nous avons fait des progrès prometteurs en ce qui concerne un référentiel commun de données analytiques qui nous aidera clairement à gérer nos activités à l’avenir. L’investissement qui y est associé était et reste une avancée significative vers la numérisation complète du groupe d’entreprises », déclare Justus Hecking-Veltman, CFO du groupe EOS. Le développement et l’utilisation de chatbots dans la communication avec les consommateur·rice·s ou de portails de service 24h/24 et 7j/7, qui ont déjà été mis en œuvre dans plusieurs pays, sont d’autres exemples de la transformation numérique de EOS.

Grâce à ses nombreuses années d'expertise en tant qu’entreprise de recouvrement et à sa focalisation sur la numérisation et la mise en réseau internationale, EOS a pu consolider et développer sa position de leader dans la gestion des créances sur de nombreux marchés au cours de l’exercice 2021/22. Celui-ci a notamment été une année record pour EOS dans le domaine du rachat de créances : Au total, le groupe a investi 669 millions d’euros dans des créances douteuses et dans l’immobilier au cours de cette période. Le volume de l’exercice précédent a été nettement dépassé avec ce résultat.

EOS met en œuvre un concept de durabilité ambitieux

Avec la stratégie de responsabilité d’entreprise (Corporate Responsibility - CR) présentée au début du dernier exercice, le groupe adopte une approche structurée et ambitieuse de son propre engagement en faveur de la durabilité. L’adhésion au Pacte mondial des Nations Unies souligne résolument les efforts d’EOS. Plus de 16 000 entreprises de plus de 160 pays participent aujourd’hui à cette initiative des Nations Unies, dont l’objectif est de rendre le monde plus durable et plus équitable. Les nombreuses activités de RSE d’EOS dépassent largement la protection de l’environnement et cet engagement social et entrepreneurial porte déjà ses fruits : avec le Top Women Leaders Awards et la médaille d’or de la célèbre agence de notation EcoVadis, le groupe EOS s’est déjà vu décerner deux distinctions au cours du précédent exercice pour ses efforts dans le domaine de la RSE.

Les initiatives en matière de durabilité en cours seront poursuivies l’année prochaine. « Nous assumons nos responsabilités – non seulement pour nos propres employé·e·s et client·e·s, mais aussi pour les consommateur·rice·s et l’ensemble du secteur du recouvrement. Ou, pour résumer : Changing for the better », dit Monsieur Ramcke. « Personnellement, je souhaite avant tout faire évoluer le sujet de la diversité. C’est l’une des plus grandes forces de notre groupe international. Ainsi, des employé·e·s engagé·e·s ont fondé l’année dernière LGBTQ+ Community Queer@EOS et le réseau de femmes W:isible ».

Europe de l’Ouest : hausse significative du chiffre d’affaires et croissance continue

En Europe de l’Ouest, les sociétés nationales ont enregistré une croissance de 9 % de leur chiffre d’affaires. La France, l’Espagne et le Danemark ont annoncé notamment une nette augmentation de leurs résultats. Il y a eu d’importants effets de rattrapage dans le secteur des créances douteuses, liés à la diminution de la pandémie. Comme dans de nombreux autres pays d’Europe de l’Ouest, les tribunaux et les organes de recouvrement ont été longtemps inactifs en raison de la pandémie, le retour à une certaine normalité a beaucoup facilité le traitement des portefeuilles de créances douteuses acquis au cours des années précédentes et a fortement augmenté la performance opérationnelle dans des pays comme la France et la Belgique. « De plus, nous avons investi 144,5 millions d’euros dans des ensembles de créances et des biens immobiliers en Europe de l’Ouest. La société nationale d’EOS en Espagne a également acheté avec succès son premier portefeuille de créances douteuses garanti. C’est une étape importante pour la région », explique Dr Andreas Witzig, directeur du groupe EOS, responsable de l’Europe de l’Ouest. « Nous continuerons à renforcer notre position sur le marché des créances douteuses et à devenir encore plus actifs, notamment en ce qui concerne les créances garanties », souligne-t-il.

De plus amples informations, des entretiens et des articles de fond sur l’exercice écoulé 2021/22 du groupe EOS sont disponibles dans la brochure virtuelle de l'exercice 21/22 : 
Dr Andreas Witzig, directeur du groupe EOS, responsable de l’Europe de l’Ouest

À propos du groupe EOS

Le groupe EOS est un important investisseur dans les portefeuilles de créances reposant sur la technologie et un expert dans le traitement des créances impayées. Avec plus de 45 ans d’expérience et des sites dans 24 pays (état : fin de l’exercice 2021/22), EOS offre à ses 20 000 client·e·s dans le monde entier des services intelligents en matière de gestion des créances. Le groupe se concentre alors sur les banques ainsi que les entreprises des secteurs de l’immobilier, des télécommunications, des fournisseurs d'énergie et du commerce en ligne. EOS emploie plus de 6 000 personnes et fait partie du groupe Otto.

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Kloten, le 5 juillet 2022 Le Conseil d'administration de l'entreprise de services financiers EOS Suisse SA a nommé Andreas Hasler au poste de CEO à compter du 1er juillet 2022. Il succède à Alex Schneider qui, après sept ans à la tête d'EOS Suisse, va relever un nouveau défi.

Personnalité de leader avec une longue expérience de la finance 

Andreas Hasler dispose d'une riche expérience de direction internationale ainsi que de connaissances approfondies dans les domaines de la finance, de la gestion des risques, des ventes et du marketing ainsi que dans la gestion de la conformité et du reporting financier. De nationalité suisse, avec ses 48 ans, il a occupé pendant une quinzaine d'années différentes fonctions dans des entreprises financières du groupe Ford, la dernière étant celle de CEO de Ford Bank Austria à Salzbourg.

Chez EOS Suisse, Hasler va renforcer l'innovation et la digitalisation, y compris la mise en place de processus de recouvrement basés sur l'intelligence artificielle.

Sept années de succès

Après 14 ans passés chez EOS Suisse / Alphapay, dont 7 ans en tant que CEO, Alex Schneider quitte EOS pour relever un nouveau défi. Le président du conseil d'administration, Andreas Witzig, a déclaré : "Je remercie Alex Schneider pour son engagement de longue date en faveur d'EOS, notamment au cours des 7 dernières années en tant que CEO. Je lui souhaite beaucoup de succès dans ses nouvelles tâches".
suit, president, master-of-ceremonies
Andreas Hasler, CEO EOS Suisse SA

Über EOS Schweiz

EOS Schweiz zählt zu den führenden Schweizer Dienstleistern im Forderungsmanagement und ist Experte bei der Bearbeitung offener Forderungen. EOS ist an 3 Standorten in der Romandie, der Deutschschweiz und im Tessin präsent und beschäftigt zurzeit rund 100 Mitarbeitende. 

EOS Schweiz ist Teil der EOS Gruppe, die mit Standorten in 24 Ländern ihren rund 20.000 Kund*innen weltweit smarte Services rund ums Forderungsmanagement bietet. Im Fokus stehen Banken sowie Unternehmen aus den Bereichen Immobilien, Telekommunikation, Energieversorgung und E-Commerce. Die EOS Gruppe beschäftigt mehr als 6‘000 Mitarbeiter*innen und gehört zur Otto Group.

Weitere Informationen über EOS Schweiz: www.eos-schweiz.com
Weitere Informationen zur EOS Gruppe: www.eos-solutions.com
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Hamburg, April 6, 2022 –  Spring is a time of renewal, and EOS is no exception: The EOS Group has launched its new corporate identity. With a new logo and corporate design, the international financial services provider is presenting itself as a modern player on the European market for receivables management. “With the new brand we are reinforcing the commitment we already communicated last year with the introduction of our claim ‘Changing finances for the better’, says Marwin Ramcke, who became the new CEO of the EOS Group in February. “With more than 6,000 employees in 24 countries, we work hard every single day to change the financial situation of our customers, partners and defaulting payers for the better. With this in mind, we are investing heavily in digitalization and are making even greater use of AI-based collection processes and our international network.”
Marwin Ramcke, CEO of the EOS Group, stands in front of a large 3D model of the red company logo
Marwin Ramcke, CEO at EOS Group

Modified design reflects how EOS has changed

The Group, which reported revenues of €792.5 million in fiscal 2020/21, aims to complete its worldwide brand rollout within the next 12 months. “I am delighted that the Board of Directors opted against an evolutionary development of the brand but instead took the plunge and embraced a disruptive design,” says Lara Flemming, Senior Vice President Corporate Communications & Marketing at EOS. “If we had merely tweaked the brand, we would not have done justice to the huge transformation that EOS has undergone in recent years. Now we can hardly wait to work with our international colleagues to make the new EOS brand visible at all touchpoints.”
Headshot of Lara Flemming, Senior Vice President Corporate Communications & Marketing at EOS
Lara Flemming, Senior Vice President Corporate Communications & Marketing at EOS
The focus of the brand relaunch is on customers and potential employees. “With the new brand identity we want to convince even more companies that EOS is their best partner for the purchase and processing of outstanding receivables,” says Flemming. “To ensure that we live up to our commitment we are constantly looking for new talent throughout Europe that can help us move forward. Our people are our most important asset. We are therefore positioning ourselves to high potentials as a modern and attractive employer.” EOS received support with the brand relaunch from Hamburg-based Syndicate Design AG as lead design agency.

New logo stands for internationality, focus and dynamism

The new logo was released from the box that had framed the letters for years. “Nothing should stand in the way of our mindset and actions,” says Flemming. The lowercase ‘e’ in the new EOS logo embodies our internationality and ongoing digitalization. “In English, the ultimate global language, most words are written in lower case,” explains Flemming. “In addition, the lowercase ‘e’ is also familiar from business terms like e-commerce, where it stands for electronic, or digital processes. We felt that it was very fitting to write our company name in lowercase letters in the logo in future.” The large ‘O’ in the center of the logo symbolizes EOS’ focus and strong purpose. The unfinished ‘s’ at the end gives the logo momentum. It reflects the thirst for change of a company that has constantly reinvented itself since it was established in 1974. “Today, the world is changing faster than ever. And we are actively shaping this change. The ‘s’ in the logo says that our development will never be finished and we will always strive to adapt to circumstances,” says CEO Ramcke. “With the new brand, we are emphasizing that we want to continue to set standards, in the entire European financial sector, over and beyond the debt collection segment.”

About EOS Group

The EOS Group is a leading technology-driven investor and service provider in the receivables management industry. With over 45 years of experience, EOS offers some 20,000 customers in 24 countries around the world smart services for all their receivables management needs. Its key target sectors are banking, real estate, telecommunications, utilities and e-commerce. EOS employs more than 6,000 people and is part of the Otto Group.

For more information on EOS Group, please go to: www.eos-solutions.com
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  • Deux entreprises européennes sur trois dans le secteur de la clientèle privée utilisent les chatbots dans leur communication avec leurs client·e·s
  • Une requête client sur deux quasiment est déjà entièrement résolue par les chatbots
  • La pression augmente : 61 pour cent des entreprises interrogées sont convaincues qu’à long terme, chaque grande société devra proposer un chatbot.
Hamburg / Kloten, 15 novembre 2021 – Durant la pandémie de coronavirus, le contact direct et rapide avec le service clientèle a constitué un défi en raison du chômage partiel ou du manque de ressources. Les chatbots y ont ainsi encore gagné en importance, comme le montre une étude actuelle du prestataire de services et investisseur financier EOS dans 14 pays européens. Selon celle-ci, les chatbots sont déjà utilisés par deux entreprises sur trois dans le secteur de la clientèle privée. Elle révèle par ailleurs que les chatbots constituent 30 pour cent de la communication numérique avec les client·e·s et qu’une demande sur deux adressée à un chatbot est également entièrement traitée par celui-ci. Le groupe EOS lui-même mise sur les assistants numériques : En Croatie, en France et en Belgique, les chatbots sont déjà utilisés et ils communiquent avec les débiteurs et débitrices défaillant·e·s.

« Depuis le déploiement de notre chatbot Tom, les appels vers notre centre de services sont en recul », déclare Wesley van de Walle, responsable de projet auprès de la société belge EOS Contentia. « En moyenne, Tom a plus de 300 entretiens par mois avec des débiteurs et débitrices défaillant·e·s concernant des demandes simples. Depuis sa dernière mise à jour, il est de plus directement intégré dans notre système de recouvrement et peut à présent traiter des données personnelles. Après s’être identifié·e·s, les utilisateurs et utilisatrices sont informé·e·s sur demande du montant de leurs dettes, de la date d’échéance du prochain paiement ou des coûts engendrés. Une véritable plus-value », explique M. van de Walle.

Les chatbots sont particulièrement populaires en Pologne et en Suisse 

La comparaison au niveau européen de l’étude d’EOS fait ressortir des différences lors de l’utilisation de cette technologie : tandis que la Pologne et la Suisse sont en haut de la liste avec un taux d’utilisation de plus de 70 pour cent, la France (54 pour cent) et la Russie (46 pour cent), quant à elles, sont plus réservées. Actuellement, ces assistants numériques sont essentiellement utilisés comme premier contact (97 pour cent), suivi par le service clientèle (51 pour cent) et le conseil produits (39 pour cent).

Les défis : ce qui freine encore les chatbots

Les entreprises interrogées voient les plus grands défis auxquels l’utilisation des chatbots fait face dans la protection des données (70 pour cent), suivie du remaniement de leur structure des données nécessaire à l’implantation (59 pour cent). Le coût des investissements, quant à lui, constitue rarement un obstacle : 27 pour cent des entreprises seulement estiment que les coûts d’introduction d’un chatbot sont « élevés », et uniquement trois pour cent ont renoncé à utiliser cette technologie pour des raisons financières.

« La conformité aux exigences élevées en matière de protection des données est une évidence pour EOS. Le défi lors du développement du chatbot dans notre secteur aux données sensibles est de trouver l’équilibre entre une utilisation facile et la sécurité nécessaire », explique Franjo Glibo, directeur du service informatique d’EOS en Croatie et responsable de son chatbot. « Les entreprises doivent communiquer ouvertement avec les consommateurs et consommatrices et mettre en évidence l’avantage de confier leurs données. Chez EOS, par exemple, elles peuvent être utilisées pour une gestion individuelle optimisée des créances, avec des avantages également pour les débiteurs et débitrices défaillant·e·s. »

Des chatbots de plus en plus intelligents : une technologie d'avenir

Selon l’étude d’EOS sur les chatbots 2021, actuellement les entreprises utilisent essentiellement des chatbots d’un degré d’intelligence moyen (57 pour cent), dont les tâches résident dans la présélection thématique et la gestion des prestations partielles. Les expert·e·s d’EOS ne sont pas les seul·e·s à penser qu’ils ou elles devraient encore s’améliorer à l’avenir. En effet, 88 pour cent des sociétés interrogées lors de l’étude prévoient de poursuivre le développement de leurs chatbots. Dans tous les pays, les entreprises interrogées s'accordent pour dire que la signification des chatbots va continuer à augmenter au cours des 24 prochains mois, de même que leur acceptation auprès des client·e·s. 61 pour cent d’entre elles sont de plus convaincues que toute grande société devrait, à moyen terme, proposer un chatbot.

À propos de l’étude représentative d’EOS sur les chatbots 2021 :

Cette étude représentative d’EOS a été réalisée d’avril à juin 2021 dans 14 pays européens. Pour cela, 200 entreprises de B2C ont été interrogées lors d’entretiens téléphoniques assistés par ordinateur. Les 2 800 décideur·se·s d’Allemagne, du Danemark, de Belgique, de Suisse, d’Espagne, de France, de Pologne, de Slovaquie, de Slovénie, de Croatie, de Hongrie, de Bulgarie, de Roumanie et de Russie ont, entre autres, répondu à des questions sur l’utilisation des chatbots, leur acceptation par les utilisateurs et utilisatrices et les chances qu’ils constituent pour l'avenir.

Plus d'informations

À propos du groupe EOS

Le groupe EOS est l’un des principaux investisseurs financiers reposant sur la technologie et les meilleur·e·s expert·e·s dans le traitement des créances impayées. Il met l’accent sur l’achat de portefeuilles de créances non garanties et garanties. Avec plus de 45 ans d’expérience et des sites dans 26 pays, EOS offre à ses 20 000 client·e·s dans le monde entier des services intelligents en matière de gestion des créances. Le groupe se concentre alors sur les banques ainsi que les entreprises des secteurs de l’immobilier, des télécommunications, de l’alimentation en énergie et du commerce en ligne. EOS emploie plus de 6 800 collaborateurs et collaboratrices et fait partie du groupe Otto.

Informations complémentaires sur EOS : eos-schweiz.com

Contact presse

Basil Schneuwly, Manager Marketing & Communication
E-Mail: b.schneuwly@eos-solutions.com
Tel.: + 41 58 411 73 03
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  • Une grande opportunité pour les entreprises : plus d’un tiers des consommateurs approuve l’idée d’une « contrepartie pour les données »
  • La majorité est prête à vendre au moins une information personnelle à des entreprises dignes de confiance
  • La volonté de partager des données dépasse parfois même la demande
Kloten, 08. Octobre 2020 – Dans le monde numérique d’aujourd’hui, des données telles que le numéro de compte, la date de naissance, l’adresse, les dossiers médicaux ou le comportement d’achat sont devenues des biens économiques essentiels. Par conséquent, la gestion des données et leur valeur ainsi que l’appréciation de leur utilisation par les entreprises façonnent de plus en plus le discours public. La récente enquête représentative menée dans 17 pays sur le sujet « Que valent les données ? » par le prestataire de services financiers et investisseur EOS confirme également cette tendance. Selon l’enquête, plus de 60 % des consommateurs en Europe et aux États-Unis, et jusqu’à 70 % en Russie, pensent que les entreprises devraient verser une compensation à leurs clients pour l’utilisation de leurs données. Plus d’un tiers des personnes interrogées sont prêtes à fournir certaines données en échange d’une rémunération. En Russie, c’est le cas de la moitié d’entre elles.

La confiance et la rémunération comme moteurs d’une divulgation renforcée des données

Pour que les personnes soient disposées à divulguer des données personnelles, il est essentiel qu’elles aient confiance dans le traitement responsable des données et dans le respect des directives légales. Selon l’enquête EOS, la grande majorité des consommateurs vendraient au moins une information personnelle à une entreprise de confiance contre de l’argent (Europe : 82 %, États-Unis : 75 %, Russie : 90 %). Les informations considérées comme les plus anodines sont la divulgation des décisions d’achat et les préférences en matière de produits et de marques. Cependant, les données de comptes ou de cartes de crédit ainsi que les renseignements sur les comptes bancaires doivent être particulièrement protégés. Interrogées sur la rémunération souhaitée, plus de la moitié des personnes sont essentiellement intéressées par des primes en nature et des remises, tandis que les prestations de services sont moins demandées et ne sont envisagées que par environ 20 % des personnes dans l’ensemble des régions.

L’analyse des données comme base d’une gestion moderne des créances

Le regard porté sur la gestion des créances montre qu’il est intéressant pour les entreprises de motiver les consommateurs à divulguer des données. Les raisons sont les suivantes : plus les données disponibles sur l’acheteur d’un produit ou d’une prestation sont exactes, plus l’acheteur peut être joint rapidement en cas de défaut de paiement. En outre, plus il existe de valeurs empiriques issues de cas de créances comparables, plus l’échéancier de paiement proposé est adapté à la situation financière du client. Résultat : celui-ci est respecté de manière plus fiable. Le Center of Analytics joue donc un rôle central chez le prestataire de recouvrement de créances EOS. Sa plateforme utilise des algorithmes d’apprentissage automatique pour évaluer des milliers de processus de recouvrement de créances et ainsi calculer les meilleures étapes de traitement suivantes.

La volonté de partager des données dépasse parfois même la demande

Selon l’enquête EOS, un consommateur sur cinq s’est déjà vu proposer une rémunération pour divulguer certaines données. En Europe, l’Espagne et la Roumanie se distinguent dans ce domaine. Dans ces pays, il s’agit même d’une personne sur quatre. Parfois, la volonté de partager des données dépasse cependant l’offre de contrepartie réelle des entreprises. « J’y vois encore d’importantes opportunités et un potentiel inexploité », souligne Joachim Göller.
Il voit un grand potentiel dans l’analyse des données : Joachim Göller, Head of Center of Analytics, EOS.
Joachim Göller, Head of Center of Analytics
« Des échéanciers de paiement sont déjà établis dans de nombreux pays EOS sur la base d’une analyse intelligente des données », explique Joachim Göller, Head of Center of Analytics. « Les parties concernées ont tout intérêt à régler une créance le plus rapidement possible afin d’économiser des frais de part et d’autre. Les données y contribuent. Plus vite le contact est établi et mieux l’accord de paiement peut être respecté, plus vite le créancier récupère son argent et plus vite le consommateur règle sa dette. La divulgation des données peut ainsi parfaitement être dans l’intérêt du payeur défaillant. »

À propos de l’enquête représentative EOS « Que valent les données ? » de 2020

L’enquête EOS, menée au printemps 2020 en coopération avec l’institut d’études de marché Kantar, est représentative de la population (en ligne) âgée de 18 ans et plus dans les 17 pays étudiés. Un échantillon de 1 000 personnes interrogées de Belgique, Bulgarie, Allemagne, France, Grande-Bretagne, Croatie, Pologne, Roumanie, Russie, Suisse, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Espagne, République tchèque et des États-Unis, ainsi que 300 personnes interrogées de Macédoine du Nord, a été évalué. Les participants/participantes ont répondu à des questions sur leur gestion personnelle et le partage de leur données, leur confiance dans les entreprises et leur volonté de vendre des données contre rémunération.

Vous pouvez trouver plus d'informations sur l'enquête ici.

À propos du groupe EOS

Le groupe EOS est l’un des principaux investisseurs financiers reposant sur la technologie et des meilleurs experts dans le traitement des créances impayées. Il met l’accent sur l’achat de portefeuilles de créances non garanties et garanties. Avec plus de 40 ans d’expérience et des sites dans 26 pays, EOS offre à ses 20 000 clients dans le monde entier des services intelligents en matière de gestion des créances. Les principaux secteurs cibles sont les banques, les entreprises d’approvisionnement, l’immobilier et le commerce électronique. EOS emploie plus de 7 500 collaboratrices et collaborateurs et fait partie du groupe Otto.

Pour plus d’informations sur le groupe EOS : www.eos-solutions.com
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  • Seuls 31 % des Suisses font confiance aux entreprises pour traiter les données numériques. 
  • Les banques et les fournisseurs d'énérgie bénéficient de la plus grande confiance. Les perdants du classement de la confiance sont les entreprises de télécommunications, les commerçants en ligne, les réseaux sociaux et les messageries
Kloten, 07. Octobre 2020 – La gestion responsable des précieuses « données numériques » est plus importante que jamais. Voici pourquoi : elles aident les entreprises à mieux comprendre leurs clients et les souhaits de ceux-ci ainsi qu’à réagir aux tendances du marché. Cependant, la divulgation des données par les consommateurs est étroitement associée à leur confiance. C’est pourquoi la situation n’est à ce jour pas très bonne : seuls 33 % des Européens font confiance aux entreprises pour gérer les données numériques. En Suisse, ce sont 31 %. Les Américains sont encore plus méfiants (23 %), tandis qu’en Russie, les répondants sont un peu moins sceptiques (41 %). Ceci est confirmé par une récente enquête représentative menée dans 17 pays par le prestataire de services financiers et investisseur financier EOS sur le sujet « Que valent les données ? ». Ce scepticisme est en partie dû à de mauvaises expériences concernant le transfert de données. Un consommateur sur quatre ou cinq a déjà eu des expériences négatives sur Internet à cet égard.

Des différences de niveau de confiance selon le secteur et le type de données

En ce qui concerne les secteurs, il existe des différences significatives : les banques et les prestataires de services financiers bénéficient de la plus grande confiance dans la gestion des données clients (Europe : 54 %, États-Unis : 56 %, Russie : 54 %), mais non sans limite dans tous les pays. Les fournisseurs d’énergie et les compagnies d’assurance s’en tirent aussi assez bien (moyenne de 39 % dans tous les pays). En revanche, les entreprises de télécommunications (moyenne de 28 %), le commerce en ligne (moyenne de 21 %) ainsi que les réseaux sociaux et les messageries (moyenne de 14 %) ne bénéficient que d’une faible confiance. Le fait que ces derniers permettent néanmoins une divulgation des données (coordonnées, profils de mouvements, comportement d’achat et de navigation) s’explique par le fait que les utilisateurs considèrent ces données comme moins sensibles. Au niveau mondial, les données financières sont considérées comme celles qui doivent être plus particulièrement protégées.
Stephan Bovermann, Senior Group Privacy Officer du groupe EOS

L’économie des données et la qualité des services créent la confiance

Les prestataires de services financiers, en particulier, bénéficient ainsi d’une confiance accrue en ce qui concerne l’utilisation des données. Cependant, ils doivent optimiser leurs processus en utilisant autant de données que possible tout en évitant les demandes de données inutiles. EOS est également confronté à ce défi. Dans le monde entier, environ 60 collaborateurs travaillent dans les domaines de la protection des données et de la sécurité des informations pour le prestataire de services de recouvrement de créances, également commanditaire de l’étude. « Afin d’établir une relation de confiance avec nos clients et les consommateurs, l’économie des données est un enjeu important chez EOS dès le début des projets. Au lieu de respecter la devise « mieux vaut avoir que ne pas avoir », nous poursuivons une approche de minimisation et ne collectons des données que dans un but précis », explique Stephan Bovermann, Senior Group Privacy Officer du groupe EOS. Avec ses collègues, il est chargé de garantir la protection des données dans les 26 pays du monde où EOS. Mais selon lui, la gestion responsable des données n’est qu’une partie des mesures nécessaires pour créer la confiance. « La qualité élevée des produits et des services contribue à avoir confiance dans une entreprise, tout comme le soin avec lequel elle gère les données qui lui sont confiées », souligne Monsieur Bovermann.
Esther van Oirsouw, Head of Portals & Integration chez EOS Technology Solutions

Minimisation des données par le biais de portails numériques en libre-service

Les portails de service d’EOS, sur lesquels les payeurs défaillants peuvent régler leurs créances impayées, sont un exemple de l’approche de minimisation des données. Seules les données nécessaires au processus de paiement y sont collectées. Cela établit une confiance, affirme Esther van Oirsouw, Head of Portals & Integration chez EOS Technology Solutions : « Nos portails en ligne permettent aux payeurs défaillants d’accéder facilement et de manière autonome à leurs créances. Après avoir saisi le numéro de dossier individuel, les paiements peuvent être effectués en quelques clics seulement. Pour la grande majorité des modes de paiement proposés, aucune donnée à caractère personnel ne doit être saisie. Cela facilite le traitement, car nous le savons par expérience : plus nous permettons l’autonomie et la flexibilité, plus le taux de paiement est élevé et plus la confiance en nos services est grande. »

Des actions nécessaires indépendamment des frontières nationales

Comme le montre l’étude, gagner et développer la confiance numérique reste un défi majeur pour de nombreuses entreprises. Dans tous les pays, la méfiance et le scepticisme des consommateurs demeurent élevés. Pourtant, nous le savons : le monde numérique met tout le monde sur un pied d’égalité. Quiconque veut faire partie du cosmos numérique rencontre les mêmes acteurs mondiaux et est soumis à leurs règles. De nombreuses personnes interrogées ont le sentiment qu’elles n’ont souvent pas le choix lorsqu’il s’agit de partager leurs données : environ deux tiers des Européens (66 %) et des Américains* (58 %) et quatre consommateurs russes sur cinq (81 %) se plaignent de ne pas pouvoir utiliser certains services en ligne sans partager de données. De plus, environ 60 % estiment qu’ils ne sont pas suffisamment informés pour empêcher ou limiter le partage des données.

À propos de l’enquête représentative EOS « Que valent les données ? » de 2020

L’enquête EOS, menée au printemps 2020 en coopération avec l’institut d’études de marché Kantar, est représentative de la population (en ligne) âgée de 18 ans et plus dans les 17 pays étudiés. Un échantillon de 1 000 personnes interrogées de Belgique, Bulgarie, Allemagne, France, Grande-Bretagne, Croatie, Pologne, Roumanie, Russie, Suisse, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Espagne, République tchèque et des États-Unis, ainsi que 300 personnes interrogées de Macédoine du Nord, a été évalué. Les participants/participantes ont répondu à des questions sur leur gestion personnelle et le partage de leur données, leur confiance dans les entreprises et leur volonté de vendre des données contre rémunération.

Vous pouvez trouver plus d'informations sur l'enquête ici.

À propos du groupe EOS

Le groupe EOS est l’un des principaux investisseurs financiers reposant sur la technologie et des meilleurs experts dans le traitement des créances impayées. Il met l’accent sur l’achat de portefeuilles de créances non garanties et garanties. Avec plus de 40 ans d’expérience et des sites dans 26 pays, EOS offre à ses 20 000 clients dans le monde entier des services intelligents en matière de gestion des créances. Les principaux secteurs cibles sont les banques, les entreprises d’approvisionnement, l’immobilier et le commerce électronique. EOS emploie plus de 7 500 collaboratrices et collaborateurs et fait partie du groupe Otto.

Informations complémentaires sur le groupe EOS : www.eos-solutions.com
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  • Une hausse des bénéfices grâce à une excellente performance opérationnelle en Europe de l’Est
  • Un niveau d’investissement toujours élevé dans les créances garanties et non garanties
  • Une offensive numérique prononcée
Hambourg/Kloten, 24 juillet 2020 – En poursuivant de manière conséquente son orientation stratégique en tant que prestataire de services de recouvrement de créances et investisseur financier reposant sur la technologie, le groupe EOS, dont le siège principal est situé à Hambourg, a enregistré une nouvelle croissance du chiffre d’affaires pour l’exercice 2019/20 : en augmentant son chiffre d’affaires de 4,8 % pour atteindre 853,1 millions d’euros, l’année écoulée a été une fois de plus très positive. Le bénéfice avant intérêts, impôts et amortissements (EBITDA) a atteint 343,4 millions d’euros.

Des atouts régionaux, une offensive numérique et des investissements élevés comme facteurs de réussite

La hausse des bénéfices du prestataire international de services financiers individuels, qui fait partie du groupe Otto, peut être attribuée principalement à une augmentation substantielle de 31,3 % du chiffre d’affaires en Europe de l’Est. D’autres facteurs clés de succès sont les importantes mesures en matière de numérisation et de développement culturel du groupe EOS, associées au niveau élevé d’investissement constant de 651,3 millions d’euros en créances garanties et non garanties et en biens immobiliers.

« Je suis très fier du dernier exercice financier. C’est le plus grand succès de l’histoire du groupe EOS », déclare Klaus Engberding, président du directoire. « Avant tout, je voudrais souligner les importants progrès que nous avons faits en matière de numérisation en investissant la somme de 25 millions d’euros dans l’extension de nos systèmes informatiques de base et en mettant l’accent sur nos processus de changement culturel. L’utilisation de l’intelligence artificielle et de l’analyse avancée des données contribuera à un élan d'innovation dans notre secteur. Et surtout en période d’incertitude comme pendant la pandémie de coronavirus, des processus fiables, une gestion des créances hautement professionnelle et des financements durables sont plus importants que jamais pour les entreprises. Nous pouvons offrir tout cela à nos clients et nous souhaitons pérenniser notre développement commercial au cours de l’année à venir. »
Die Aufteilung des Gesamtumsatzes der EOS Gruppe im Geschäftsjahr 2019/20 auf die globalen Partnerunternehmen.
Les chiffres d’affaires du groupe EOS dans les différentes régions pour l'exercice 2019/20.

Développement commercial stable en Europe de l’Ouest (en inclus la Suisse)

En Europe de l’Ouest, l’évolution opérationnelle très positive en Belgique, en France et en Autriche a entraîné une augmentation globale du chiffre d’affaires de 5 %, dépassant le chiffre de l’exercice précédent. Les sociétés régionales d’EOS ont ainsi une nouvelle fois affirmé leur position de leader dans le domaine des rachats de créances. La France s’est notamment distinguée malgré un environnement de marché difficile persistant et a réalisé des investissements nettement plus importants dans des portefeuilles garantis et non garantis par inscription hypothécaire. La Belgique et l’Espagne ont également pu accroître leurs activités d’investissement. Ainsi, la valeur nominale d’un ensemble de 47 000 créances qu’EOS Aremas en Belgique a acheté à bpost bank s’élève, par exemple, à 36 millions d’euros.

« Le groupe EOS est très bien positionné en Europe de l’Ouest. Grâce à notre savoir-faire et à nos longues années d'expérience, notamment dans les secteurs de la banque et des télécommunications, nous sommes un partenaire stratégique privilégié pour nos clients », commente Dr. Andreas Witzig, membre du directoire du groupe EOS en charge des régions Europe de l’Ouest et Amérique du Nord. « Nous investissons massivement dans les Big Data et les analyses et aidons à résoudre les problèmes liés aux NPL. Malgré la crise due au coronavirus, qui a particulièrement touché la France et l’Espagne, nous restons un partenaire stratégique fiable et privilégié dans le domaine du recouvrement fiduciaire et du rachat de créances », confirme Monsieur Witzig.

À propos du groupe EOS

Le groupe EOS est l’un des principaux investisseurs financiers reposant sur la technologie et experts dans le traitement des créances impayées. L’accent est mis sur l’achat de portefeuilles de créances non garanties et garanties. Avec plus de 40 ans d’expérience et des sites dans 26 pays, EOS offre à ses 20 000 clients dans le monde entier des services intelligents en matière de gestion des créances. Les principaux secteurs cibles sont les banques, les entreprises d’approvisionnement, l'immobilier et le commerce électronique. EOS emploie plus de 7 500 collaboratrices et collaborateurs et fait partie du groupe Otto.

Informations complémentaires sur le groupe EOS : www.eos-solutions.com
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Hambourg, 2 juillet 2020 – Euler Hermes Rating, l'une des agences de rating leader en Europe, a de nouveau attribué la notation A à la solvabilité d'EOS Holding. Déjà pour la 16ème fois consécutive, EOS a convaincu les contrôleurs grâce à un niveau de bénéfices très élevé et stable et à une très bonne structure du capital. L'évaluation de la notation souligne particulièrement la longue expérience dans l'évaluation, l'acquisition et le traitement des créances non performantes, ainsi que sa position de leader sur le marché allemand et sa forte position sur le marché européen.

Des faits pour créer la confiance: Malgré la crise du coronavirus, Euler Hermes considère que le risque financier d'EOS est faible. À court et moyen terme, une perte de ventes et de bénéfices pourrait se produire, mais à long terme, les contrôleurs s'attendent de nouveau à un niveau de bénéfices de bon à très bon.

Des investissements durables à grande échelle

Au cours des dernières années, EOS a systématiquement renforcé ses activités en tant qu'investisseur financier et s'est établi dans certains pays comme le leader du marché de l'achat de paquets de créances. Au cours du dernier exercice 2019/20, la société a investi 651,3 millions d'euros dans des créances et des biens immobiliers garantis et non garantis.

«Également au cours des prochaines années, nous voulons faire des investissements substantiels et durables dans des paquets de créances», souligne Justus Hecking-Veltman, Chief Financial Officer du groupe EOS. «La diversification des risques entre plusieurs pays est très importante pour nous. Cependant, nous ne gagnons pas tous les portefeuilles avec nos modèles de prix. Sur certains marchés, parfois nous ne réussissons pas pendant de longues périodes. Néanmoins, nous nous en tenons à notre mode d'opération, car il fait de nous une société stable, économiquement solide et fiable, également à l'avenir.»

À propos du groupe EOS

Le groupe EOS est l'un des principaux investisseurs financiers basés sur la technologie et expert dans le traitement des créances ouvertes. L'accent est mis sur l'achat de portefeuilles de créances non garanties et garanties. Grâce à plus de 40 ans d'expérience et des bureaux dans 26 pays, EOS offre à ses quelque 20'000 clients dans le monde entier des services intelligents liés à la gestion des créances. Les principaux secteurs ciblés sont les banques, les services publics, le secteur immobilier et le commerce électronique. EOS a plus de 7'500 collaborateurs et fait partie du groupe Otto.

Plus d'informations sur le groupe EOS: www.eos-solutions.com
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La propagation du coronavirus domine non seulement la couverture médiatique et les dialogues à l'intérieur et à l'extérieur du bureau, mais également la vie quotidienne. Compte tenu de la situation particulière, nous avons pris des précautions exemplaires pour protéger la santé de nos collaborateurs, clients et partenaires. Nos précautions tiennent compte des directives fédérales et cantonales et prévoient des mesures de sécurité plus strictes dans certains domaines.

Le plan de mesures développé par EOS Suisse est établi de façon que

  1. les activités opérationnelles soient maintenues,
  2. la plupart des collaborateurs puissent effectuer leur travail en télétravail à domicile et
  3. les rendez-vous convenus soient reportés ou effectués d'une autre manière (par exemple par téléphone ou vidéoconférence).
Nous nous engageons à vous garantir le meilleur service possible comme toujours. Néanmoins, les temps d'attente et de réponse pourraient être un peu plus longs afin de répondre à vos préoccupations et demandes. Bien entendu, toutes les fonctions centrales continueront pour garantir la sécurité et la fiabilité comme auparavant.

Nous croyons fermement que dans cette situation extraordinaire, la protection de la santé a la priorité sur les motifs économiques. En tant que société dans son ensemble, nous sommes invités à partager les mesures de sécurité nécessaires par solidarité.

«Avez-vous des questions?»
Veuillez-vous adresser à l'un des contacts ci-joints.

 

Merci beaucoup de votre compréhension et la confiance que vous nous accordez

Alex Schneider
Managing Director    

Basil Schneuwly
Director Marketing & Communication

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  • Über die Hälfte der Schweizer Unternehmen hält Cyber Security für ein Topthema im Forderungsmanagement der nächsten Jahre – nicht mal jedes vierte praktiziert bereits aktive Massnahmen
  • Klassische Zahlungsmethoden dominieren nach wie vor, die digitalen Optionen holen nur wenig auf
  • Jede fünzigste Rechnung wird nie bezahlt – Milliardenschäden für die Wirtschaft

Kloten, 14. November 2019 – Angesichts immer neuer Nachrichten über gehackte Konten und erbeutete Passwörter erstaunt dieses Ergebnis: Ausgerechnet im sensiblen Finanzbereich steht das Thema Cyber Security auch in Schweizer Unternehmen nicht ganz oben auf der Prioritätenliste. Das ist das Ergebnis der repräsentativen Studie „Europäische Zahlungsgewohnheiten“ 2019 des Finanzdienstleisters EOS in 17 europäischen Ländern. Danach rechnen zwar 54 Prozent der Schweizer Finanzentscheider damit, dass Cyber Security in den kommenden beiden Jahren ein Trendthema im Forderungsmanagement sein wird und sind damit sensibilisierter als ihre Kollegen in Deutschland (nur 35%; europaweit 49%). Bedenklich:

Erst 23 Prozent der Finanz-Entscheider in der Schweiz beschäftigen sich heute überhaupt mit diesem Thema. Der Anteil bisher noch passiver Unternehmen im Umgang mit Cyber Security im Forderungsmanagement ist hierzulande sogar am grössten in ganz Europa! 31% der befragten Finanzentscheider stimmen zwar zu, dass Cyber Security ein wichtiges Thema ist, praktizieren im eigenen Unternehmen aber noch keine spezifischen Massnahmen. Etwas besser sieht es beim Datenschutz aus. Da geben 66 Prozent der Befragten an, dass ihr Unternehmen entsprechende Massnahmen ergriffen habe.

Cyber Security ist mehr als nur Datenschutz

Europaweit führend ist Dänemark, in Sachen Datenschutzmassnahmen (81% der Unternehmen) wie auch hinsichtlich Cyber Security, das fast drei Viertel der Unternehmen aktiv angehen. Der Schutz personenbezogener Daten ist ein wichtiger Teil der Sicherheit auch von Zahlungsdaten. „Cyber Security ist allerdings ein weit grösseres Feld als Datenschutz“, weiss Gunnar Woitack, Chief Information Security Officer (CISO) der EOS Gruppe. „Hier geht es auch darum, Mitarbeiter für Gefahren, die zum Beispiel von Schadsoftware ausgehen, zu sensibilisieren und klare Sicherheitsprozesse im Unternehmen zu etablieren. Das ausser Acht zu lassen, ist fahrlässig und kann zu hohen wirtschaftlichen Schäden führen. Nach meiner Einschätzung besteht hier in vielen Unternehmen noch massiver Investitionsbedarf.“ Um die grösstmögliche Datensicherheit zu gewährleisten, sollten Unternehmen beispielsweise regelmässig spezialisierte Hacker mit sogenannten Penetrations-Tests beauftragen: Sie suchen dabei die Systeme nach Schlupflöchern ab, damit diese geschlossen werden können. „Wir tun das regelmässig für die mehr als 60 EOS Unternehmen in 26 Ländern“, sagt Woitack.

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Dominanz der klassischen Zahlungswege unangetastet

Die Schweiz – wie auch Europa – zahlt immer noch gerne konventionell. Der Kauf auf Rechnung sowie die Überweisung gehören mit über achtzig Prozent zu den am häufigsten angebotenen Zahlungsarten.

Moderne digitale Payment-Methoden haben im Vergleich zum Vorjahr nur wenig aufholen können. Die Möglichkeit, mit Online-Überweisung via Drittanbieter zu bezahlen, ist bei den befragten Unternehmen sogar leicht zurückgegangen auf 26%. Etwas Boden gut gemacht haben die Zahlungsmethoden Mobile Payment (7%) oder eWallets (5%). Europaweit liegt beim Mobile Payment ebenfalls Dänemark vorne, 28% der Unternehmen bieten diese Option an. Deutschland ist in der Sparte E-Wallets führend, fast jedes siebte befragte Unternehmen lässt solche digitalen Zahlungen zu.

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Grundsätzliche Zahlungsbereitschaft unverändert

Die grundsätzliche Zahlungsbereitschaft der Schweizer Kunden ist mit 82% pünktlich bezahlter Rechnungen im Vergleich zum Vorjahr unverändert geblieben, ebenso der Anteil an verspätet, aber doch noch bezahlten Rechnungen. Komplette Zahlungsaufälle müssen die Unternehmen bei immerhin 2% aller Forderungen hinnehmen – insgesamt rund 11 Milliarden Schweizer Franken gehen so der Schweizer Wirtschaft jährlich verloren.

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Über die repräsentative EOS Studie „Europäische Zahlungsgewohnheiten“ 2019

Gemeinsam mit dem unabhängigen Marktforschungsinstitut Kantar befragte EOS 3.400 Unternehmen in 17 europäischen Ländern via Telefoninterviews zu den dortigen Zahlungsgewohnheiten. Jeweils 200 Unternehmen (mit je mehr als fünf Millionen Euro Jahresumsatz) aus Belgien, Bulgarien, Dänemark, Deutschland, Frankreich, Griechenland, Grossbritannien, Kroatien, Polen, Rumänien, Russland, Schweiz, Slowakei, Slowenien, Spanien, Tschechien und Ungarn beantworteten im Frühjahr 2019 Fragen zu eigenen Zahlungserfahrungen sowie zu aktuellen Themen im Risiko- und Forderungsmanagement. Die jährlich stattfindende Studie wurde von EOS bereits zum zwölften Mal durchgeführt.

Die EOS Gruppe

Die EOS Gruppe ist einer der führenden internationalen Anbieter von individuellen Finanzdienstleistungen. Als Experte bei der Bewertung und Bearbeitung von Forderungen setzt EOS auf neue Technologien, um seinen rund 20.000 Kundinnen und Kunden in 26 Ländern finanzielle Sicherheit durch smarte Services zu bieten. Den Schwerpunkt bildet das Forderungsmanagement. Im Kern stehen dabei drei Geschäftsfelder: Treuhandinkasso, Forderungskauf und Business Process Outsourcing.

In einem internationalen Netzwerk von Partnerunternehmen verfügt die EOS Gruppe mit knapp 7.500 Mitarbeiterinnen und Mitarbeitern sowie mehr als 60 Tochterunternehmen über Ressourcen in über 180 Ländern. Hauptzielbranchen sind Banken, Versorgungsunternehmen, der Telekommunikationsmarkt, der Immobiliensektor, Distanzhandel und E-Commerce sowie Institutionen der öffentlichen Hand.

Weitere Informationen: www.eos-solutions.com

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  • Des niveaux records en termes de chiffre d’affaires et d'EBITDA
  • Fort investissement dans les rachats de créances : nouvelle étape franchie pour le futur investisseur financier mondial
Kloten; 19 juillet 2019 – Le groupe EOS basé à Hambourg a augmenté son chiffre d’affaires au cours de l’exercice 2018-2019 de 2,3 % à 813,7 millions d’euros. Le bénéfice avant intérêts, impôts et amortissements (EBITDA) a atteint 283,6 millions d’euros. Le fournisseur international de services financiers individuels qui appartient au groupe Otto a ainsi pu enregistrer un nouveau record des deux chiffres clés. L’un des principaux facteurs de cette évolution positive est l’important investissement dans le rachat de portefeuilles de créances non garanties et garanties : au cours de l'exercice écoulé, EOS a investi 668 millions d'euros dans les créances et l'immobilier et se transforme de plus en plus en un investisseur financier mondial.
EOS EBITA development until 2018/19

L’important investissement dans les rachats de créances sera poursuivi

« Je me félicite de cet exercice très satisfaisant », déclare Klaus Engberding, Président Directeur Général du groupe EOS. « Tant en termes de chiffre d’affaires que de bénéfices, nous avons encore atteint un excellent niveau. Malgré l’harmonisation des différents exercices au cours de l’année précédente », nous avons pu augmenter le chiffre d’affaires du groupe EOS. C'est un signe clair de notre croissance durable », mentionne Monsieur Engberding. « Outre les rachats de créances non garanties, nous développons aussi considérablement les opérations garanties par des biens immobiliers. Nos technologies basées sur les données nous permettent d’évaluer et de gérer les créances de manière optimale - c’est idéal pour continuer à investir massivement dans les rachats de créances au niveau mondial. »

Le groupe EOS compte plus de 60 entreprises dans 26 pays et emploie plus de 7 500 personnes. Via son réseau de partenaires dans 180 pays à travers le monde, EOS propose des services intelligents à ses quelque 20 000 clients.

* Au cours de la période comptable 2017/18, environ 30 entreprises d’EOS ont été intégrées dans les états financiers consolidés au bout de 14 mois au lieu de 12 mois.

EOS Consolidated revenue by region 2018/19

Croissance en Europe de l’Ouest

Apuré d’un effet exceptionnel, EOS a pu augmenter son chiffre d’affaires en Europe de l’Ouest. « L'une des raisons de notre développement encourageant dans cette région a été l'augmentation des investissements dans les rachats de créances », explique Andreas Witzig, directeur général du groupe EOS et responsable des régions d'Europe de l’Ouest et d'Amérique du Nord. « En France, par exemple, nous avons pu acquérir un portefeuille du financier immobilier Crédit Immobilier de France d’une valeur nominale de 125 millions d’euros. En Autriche et en Suisse, nous étions situés avec les investissements dans des créances douteuses bien au-delà du volume prévu et, en Belgique légèrement au-dessus. » EOS Suisse a considérablement développé ses prestations dans le domaine de l'achat de créances et a pu, au cours de l'exercice sous revue, obtenir des créances plus importantes sur des concurrents renommés.

À propos du groupe EOS

Le groupe EOS est l'un des principaux fournisseurs internationaux de services financiers individuels. En tant qu’expert en matière d’évaluation et de gestion des créances, EOS s’appuie sur les nouvelles technologies pour fournir une sécurité financière au moyen de services intelligents à ses quelques 20 000 clients répartis dans 26 pays. L'accent est mis sur l'achat de portefeuilles de créances non garanties et garanties. Au sein d’un réseau international d'entreprises partenaires, le groupe EOS, qui compte plus de 7 500 collaborateurs et plus de 60 filiales, dispose de ressources dans plus de 180 pays. Les principales branches cibles sont les banques, les entreprises d'approvisionnement, le secteur immobilier et le commerce électronique. EOS fait partie du groupe Otto.

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Jedes sechste Unternehmen ist durch Zahlungsverzug und Zahlungsausfall in der Existenz bedroht – Preisaufschläge, Personalabbau und Investitionsverzicht sind Gegenmassnahmen 

Kloten, 7. November 2018 – Die grundsätzliche Zahlungsbereitschaft der Schweizer Kunden hat sich zwar im Vergleich zum Vorjahr um einen Prozentpunkt verbessert (2018: 2 Prozent Zahlungsausfälle, 2017: 3 Prozent). Hingegen lassen sich die Kunden mehr Zeit für die Zahlung, bereits jede sechste Rechnung wird verspätetet bezahlt (2018: Verzug bei 16 Prozent der Forderungen, 2017: 15 Prozent). 

Welche Bedeutung der rechtzeitigen Zahlung von Forderungen beikommt, zeigen die Folgen von Verzug und Ausfällen für die Liquidität und die Kapitalkraft der betroffenen Unternehmen. Fast jedes vierte Unternehmen versucht mit Personalabbau und Einstellungsstopp (24%) sowie Preisaufschlägen (23%) den finanziellen Schaden aufzufangen. Eine weitere häufige Massnahme ist der Verzicht auf Investitionen (13% der Unternehmen). Verspätete Zahlungen oder gar das Nichtbegleichen einer Schuld löst also einen klassischen Boomerang-Effekt aus, der die gesamte Gesellschaft trifft. 

42 Prozent der Schweizer Unternehmen arbeiten regelmässig mit Inkassounternehmen zusammen. Vergangenes Jahr führten die Inkasso-Profis sieben Prozent der Unternehmensumsätze zurück, eine Verbesserung ebenfalls um einen Prozentpunkt gegenüber dem Vorjahr. Dies sind Ergebnisse aus der repräsentativen EOS Studie „Europäische Zahlungsgewohnheiten“ 2018.
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Modern bezahlen: Bei 31 Prozent der Unternehmen möglich

Die Schweiz – wie auch Europa – zahlt immer noch gerne konventionell. Unternehmen kommen somit dem Wunsch ihrer Kundinnen und Kunden nach, wenn sie weiterhin herkömmliche Zahlungsmethoden anbieten. Der Kauf auf Rechnung sowie die Überweisung gehören mit über achtzig Prozent zu den am häufigsten angebotenen Zahlungsarten. Mit deutlichem Abstand folgen weitere Zahlungsklassiker wie die Vorauszahlung (45%), das Lastschriftverfahren (44%), die Barzahlung (39%) und Zahlungen per Kredit- oder Debit/EC-Karte (36% und 33%). Auch die Ratenzahlung ist nach wie vor bei mehr als einem Drittel der Unternehmen möglich (36%).

Dominanz der klassischen Zahlungswege unangetastet 
Moderne digitale Payment-Methoden sind noch nicht sehr verbreitet. Nur die Online-Überweisung via Drittanbieter (wie z.B. Twint, Paypal u.a.) holt allmählich auf; 28% der Unternehmen bieten diese Zahlungsmethode an. Es dürfte sich dabei hauptsächlich um Anbieter von Online- und Offline-Shops mit hohen Volumen an Klein-Käufen handeln. Mit 3 bis 5 % Verbreitung noch völlig unbedeutend sind die Zahlung per Mobile Payment oder eWallets. Kryptowährungen sind in aller Munde, aber gerade mal ein Prozent bieten entsprechende Zahlungsoptionen. Übrigens schneidet die Schweiz diesbezüglich nicht besser ab als die europäischen Länder.
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Alle Schweizer Ergebnisse der Studie als Infografiken auf der Website von EOS Schweiz: https://ch.eos-solutions.com/press/infographics.html
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Die Handhabung des Verzugsschadens in der Praxis war Thema am EOS Forum 16 in Zürich. Wie kann der durch die Zahlungsstörung entstandene Schaden überhaupt stichhaltig beziffern werden? Und wie handhaben die involvierten Parteien den Verzugsschaden?

Eindrücklich die vom Berner Lobbyisten Charles Kneubühl aufgezeigten 11 Milliarden an finanziellen Schäden, die den Unternehmen in der Schweiz jährlich entstehen aufgrund von Zahlungsverzögerungen oder –ausfällen und den Aufwänden zur Eintreibung dieser Einnahmen. Daniel Bucklar, Leiter der juristischen Fachstelle der EOS Schweiz, gab Einblick über den Verzugsschaden in der Inkassopraxis. Mehr Informationen und das Referat zum Nachlesen gibt es auf der Seite EOS Forum

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