Nous vous tenons informés
- Le Groupe EOS consolidé réalise le deuxième meilleur résultat de ses 50 ans d'existence
- Note de risque ESG de Morningstar Sustainalytics : le Groupe EOS monte sur le podium du secteur « Finance des particuliers »
- Responsabilité d’entreprise (RE) : EOS publie son deuxième rapport annuel et de durabilité combiné
Une performance satisfaisante malgré une conjoncture économique compliquée
Les bons résultats du Groupe EOS dans un contexte d’adversité macroéconomique s’expliquent, en particulier, par la performance exceptionnelle des équipes internationales ces dernières années, souligne Justus Hecking-Veltman, CFO du Groupe EOS au moment de la préparation des états financiers annuels. Globalement, tandis que les investissements ont chuté fortement par rapport à l’exercice exceptionnel qu’était 2022/23, des achats de créances importants dans une fourchette supérieure à 10 ou 100 millions ont confirmé la solidité de la position de l’entreprise sur le marché », ajoute J. Hecking-Veltman. « Ainsi, l’achat de portefeuilles de créances restera un domaine prioritaire pour le Groupe EOS à l’avenir.
Le 1er août 2024, J. Hecking-Veltman a quitté l’entreprise pour relever de nouveaux défis. Il sera remplacé par Dr. Eva Griewel, titulaire d’un doctorat en économie.
L’Europe de l’Est dépasse légèrement les niveaux de revenus de l’année dernière
L’Europe de l’Ouest enregistre la plus forte croissance en augmentant ses revenus de 6,9 pour cent
L’Allemagne au niveau de l’exercice précédent
La durabilité revient en force
En reprenant les normes de la Global Reporting Initiative (GRI) pour établir son rapport annuel et de durabilité, EOS expose clairement la performance du Groupe dans ce domaine. Par exemple, une analyse de l’écart de rémunération entre les hommes et les femmes a été effectuée pour la première fois. En outre, la société calcule désormais sa propre empreinte carbone (scopes 1 et 2). « Nous continuerons à développer ces initiatives au cours de cet exercice et en tirerons des mesures ciblées, notamment pour réduire nos émissions », souligne M. Ramcke.
La stratégie de responsabilité d’entreprise est solidement ancrée dans le cœur de métier du Groupe EOS. Le recouvrement responsable et le désendettement durable font partie des préoccupations essentielles d’EOS. Par exemple, le Groupe a réussi à régler plus de cinq millions de dossiers d’endettement au cours de l’exercice écoulé, ce qui lui a permis d’aider les clients en défaut de paiement et de réinsuffler environ 1,9 milliard d’euros dans le cycle économique.
À propos du Groupe EOS
Pour de plus amples renseignements sur le Groupe EOS, veuillez consulter : https://eos-solutions.com/
- Hausse significative du volume d’investissement en Europe de l’Est et de l’Ouest
- La collaboration internationale et la numérisation prennent de plus en plus d'importance
- Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) : le rapport combiné d’activité et de développement durable se réfère pour la première fois à la Global Reporting Initiative (GRI)
Une excellente performance opérationnelle
La large palette d'activités du groupe EOS, qui compte 24 sociétés nationales en Europe a également eu un effet positif sur le résultat global, explique le CFO du groupe EOS, Justus Hecking-Veltman. « Notre diversification nous garantit une grande stabilité en tant que groupe. Nous ne dépendons pas des marchés individuels. Notre longue expertise en tant qu’acheteur de portefeuilles de créances douteuses, mais aussi notre patience sur certains marchés ont porté leurs fruits cette année », assure Monsieur Hecking-Veltman.
L’Europe de l’Est continue sur sa lancée avec un niveau d’investissement élevé
L’Europe de l’Ouest quadruple son volume d’investissement
Forte pression de la concurrence en Allemagne
« Le recouvrement implique d’assumer des responsabilités »
« Nous avons toujours dit que le recouvrement impliquait d’assumer des responsabilités. La responsabilité sociétale des entreprises est donc depuis longtemps un enjeu majeur pour nous », souligne le CEO, Marwin Ramcke. « Nous voulons nous améliorer jour après jour. Les normes GRI nous aident à démontrer avec transparence à quel point notre action est durable et ce que nous réalisons dans ce domaine. » Outre les questions environnementales classiques, la gestion équitable des consommateur.rice.s en défaut de paiement joue également un rôle important, selon Andreas Kropp. « Nous voulons les aider à se désendetter le plus rapidement possible. Pour cela, nous proposons différents services qui permettent, par exemple, de payer de manière anonyme et à tout moment. Sur le portail de services allemand, chaque consommateur.rice peut de plus définir ses propres échéances. »
À propos du groupe EOS
Informations complémentaires sur le groupe EOS : eos-solutions.com
Hambourg, Allemagne, le 15 mars 2023
- L’inflation et les coûts de l’énergie principalement sont à l’origine des nouvelles dettes
- Les consommateur.rice.s économisent avant tout sur les voyages, les sorties au restaurant et les vêtements neufs
- Une grande partie des Européen.ne.s s’inquiètent pour leur avenir
L’augmentation très rapide des taux d’inflation ainsi que la crise de l’énergie entraînent chez la plupart des Européen.ne.s (53 pour cent) une sensibilité accrue pour les prix. Parallèlement, un cinquième d’entre eux/elles environ a contracté de nouvelles dettes au cours des six derniers mois. C’est ce qu’a révélé l'étude consommateurs représentative EOS 2023 « Europeans in financial trouble? » pour laquelle 7 700 consommateur.rice.s de 13 pays européens ont été interrogé.e.s.
Les consommateur.rice.s d’Europe de l’Est en moyenne plus touché.e.s par les nouveaux endettements
Les consommateur.rice.s ont veillé de manière ciblée à leurs dépenses en particulier dans les pays d’Europe de l’Est, tels que la Roumanie (67 pour cent), la Hongrie (66 pour cent) et la Tchéquie (63 pour cent). Au niveau de l’Europe dans son ensemble, les personnes interrogées ont indiqué avoir réduit leurs dépenses avant tout dans les domaines des voyages ainsi que de la culture et des loisirs (33 pour cent chacun), mais aussi des vêtements neufs (28 pour cent). Parallèlement, une personne sur cinq environ a contracté de nouvelles dettes au cours des six derniers mois. Les principales raisons à cela ont été avant tout l’inflation (49 pour cent) et l’augmentation des coûts de l’énergie (27 pour cent).
Les dettes ont été contractées plus souvent dans les pays d’Europe de l’Est, tels que la Roumanie et la Hongrie (respectivement 30 pour cent) ainsi que la Macédoine du Nord (29 pour cent) et la Serbie (28 pour cent) que la moyenne européenne. Les Européen.ne.s de l’Ouest ont eu recours à de nouveaux endettements plus souvent (18 pour cent) pour voyager, contrairement aux Européen.ne.s de l’Est qui se sont endetté.e.s essentiellement pour payer leur chauffage et leur électricité (28 pour cent).
« Les dettes ne sont pas gênantes uniquement en temps de crise. Lorsqu'elles touchent le chauffage et l'électricité, elles révèlent des problèmes de liquidités existentiels. Il est donc d'autant plus important d’aller à la rencontre de ces personnes avec empathie et respect et d’élaborer pour elles des solutions taillées sur mesure, telles que des accords communs de mensualité et des montants de versements uniques » explique Bartosz Jurczyk, Operations and Strategy Division Director chez EOS en Pologne. L’objectif d’EOS est de toujours aider ces personnes à trouver une solution adaptée et rapide pour réduire leurs dettes, poursuit M. Jurczyk.
Lors de la recherche de solutions sur mesure pour les consommateur.rice.s défaillant.e.s, nous nous appuyons sur des modèles de données et de prises de décisions analytiques qui nous permettent de déterminer avec précision les canaux de communication et les méthodes de paiement individuels que les consommateur.rice.s préfèrent. « Cela signifie que les activités de recouvrement sont déjà taillées sur mesure sur la personne correspondante dans notre système », expliqueMirjana Ćevriz, business analyst et spécialiste de l’assistance application chez EOS en Serbie.
L’inflation, la plus grande inquiétude pour l’avenir
L’inflation élevée et la croissance rapide des coûts de l’énergie ont provoqué une peur pour leur avenir financier chez tout juste les trois quarts des consommateur.rice.s interrogé.e.s (73 pour cent). L’inquiétude relative au chômage préoccupe en particulier les 18-34 ans. « Cette étude montre que l’inflation ne laisse pas les consommateur.rice.s indifférent.e.s », résume Marwin Ramcke, CEO du groupe EOS. « En particulier en période de crise, il est souvent impossible d’éviter les dettes. Elles permettent de surmonter les difficultés à court terme et même de sauver des existences. Il est important pour nous, qui sommes un des leaders européens parmi les sociétés de recouvrement, d’apporter aux consommateur.rice.s un support juste dans le remboursement de leurs dettes. » Cela permet de les aider personnellement, mais aussi de soutenir l’économie dans laquelle cet argent est réintroduit, poursuit M. Ramcke.
L’argent liquide particulièrement populaire
Outre un comportement financier plus responsable vis-à-vis des prix plus élevés, cette étude montre également un changement dans l’utilisation des méthodes de paiement. 42 pour cent ont indiqué avoir eu recours à l’argent liquide plus souvent qu'avant au cours des six derniers mois. C’est avant tout en ce qui concerne le groupe des 18-34 ans, dont tout juste la moitié a utilisé l'argent liquide plus souvent, que ce résultat est particulièrement surprenant. Parallèlement, cette étude a également révélé que ce groupe d’âge utilisait des méthodes de paiement plus variées.
À propos de l’étude d’EOS « Europeans in financial trouble? » Étude consommateurs EOS
Entre le 3 et le 9 février 2023, EOS a interrogé via un formulaire en ligne 7 700 consommateur.rice.s de 13 pays européens en collaboration avec la société Dynata, spécialisée dans les enquêtes en ligne. Cette étude s’est alors concentrée sur la question de savoir comment les six derniers mois avaient influencé leur propre comportement de consommation ainsi que leur situation financière.
À propos du groupe EOS
Le groupe EOS est un important investisseur dans les portefeuilles de créances reposant sur la technologie et un expert dans le traitement des créances impayées. Avec plus de 45 ans d’expérience et des sites dans 25 pays, EOS offre à ses 20 000 client·e·s dans le monde entier des services intelligents en matière de gestion des créances. Le groupe se concentre alors sur les banques ainsi que les entreprises des secteurs de l’immobilier, des télécommunications, des fournisseurs d'énergie et du commerce en ligne. EOS emploie plus de 6 000 personnes et fait partie du groupe Otto.
Informations complémentaires sur le groupe EOS : www.eos-solutions.com
Kloten, 5 octobre 2022
- Près d’une entreprise sur quatre s’attend à une détérioration de son expérience de paiement
- Une facture sur cinq est payée en retard en Europe de l’Ouest et même une sur quatre en Europe de l’Est
Bien que les entreprises aient allongé les délais de paiement, ce sont surtout les particuliers qui ont réglé leurs factures avec 19 jours de retard en moyenne. Comparé à l’étude précédente de 2019, où 16 % des factures des particuliers étaient payées en retard voire pas du tout, ce chiffre atteint déjà 20 pour cent dans l’étude actuelle. Les entreprises interrogées expliquent ce mauvais comportement de paiement principalement par les problèmes de liquidités de leurs client·e·s.
Comme conséquence de ces retards et difficultés de paiement, les entreprises déclarent être elles-mêmes le plus souvent confrontées à des problèmes de liquidités (42 %) et à des pertes de bénéfices (51 %). Pour les compenser, près d’un tiers des entreprises a dû réduire ses investissements et augmenter ses prix. Par conséquent, elles sont pessimistes pour l’avenir. Alors qu’en 2019, 22 % des entreprises interrogées s’attendaient encore à une amélioration de la morale de paiement, près de 24 % d’entre elles s’attendent aujourd’hui à une nouvelle détérioration. Les prévisions par rapport à 2019 sont particulièrement réduites, notamment au Danemark, en Suisse, en Slovaquie, en République tchèque, en Slovénie et en Bulgarie. « Il est inquiétant de constater que la morale de paiement se soit nettement dégradée ; d’autant plus que nous devons nous attendre à une nouvelle baisse du niveau de paiement au vu des chiffres économiques actuels et de la forte inflation », déclare Marwin Ramcke, CEO du groupe EOS.
Professionnalisation de la gestion des créances
Pour recouvrer leurs créances, de plus en plus d’entreprises collaborent avec des prestataires de services externes de gestion des créances. « Le manque de liquidités est l’une des causes les plus fréquentes des faillites et des pertes d’emplois. » Les entreprises européennes devraient donc professionnaliser davantage leur gestion des créances et envisager une collaboration avec des partenaires externes, recommande Monsieur Ramcke.La professionnalisation de la gestion des créances est particulièrement développée en Europe de l’Est. Près de la moitié des entreprises y font déjà appel à des spécialistes externes. « C’est justement au vu de chiffres économiques difficiles que les sociétés de recouvrement sont un soutien important pour les entreprises et le secteur économique, car elles permettent de retrouver une liquidité », explique Christina Schulz, responsable de la Division Management Europe de l’Est chez EOS.
Extension des méthodes de paiement numériques
Parallèlement, le développement des méthodes de paiement numériques devient de plus en plus important pour les entreprises. Depuis 2019, cette tendance s’est nettement accentuée en Europe, tant de l’Ouest que de l’Est. Avec une augmentation de 20 %, les entreprises d’Europe de l’Est ont presque doublé leur offre de modes de paiement numériques. Le mode de paiement Buy Now, Pay Later (BNPL) gagne également en importance : quatre entreprises européennes sur dix considèrent ce mode de paiement comme une nouvelle carte de crédit incontournable dans leur offre de paiement.Concernant l’étude EOS « Habitudes de paiement des Européens »
Entre le 4 mars et le 19 avril 2022, EOS et l’institut d’études de marché indépendant Kantar ont interrogé par téléphone 3 200 entreprises de 16 pays européens sur les habitudes de paiement dans leur pays. 200 entreprises (générant un chiffre d’affaires annuel de plus de cinq millions d’euros chacune) de Belgique, Bulgarie, Croatie, Danemark, France, Allemagne, Grèce, Grande-Bretagne, Pologne, Roumanie, Suisse, Slovaquie, Slovénie, Espagne, République tchèque et Hongrie ont répondu au printemps 2022 à des questions sur leurs propres expériences en matière de paiement ainsi que sur des sujets actuels touchant à la gestion des risques et aux créances. Cette étude a été réalisée par EOS pour la 13e fois.À propos du groupe EOS
Le groupe EOS est un important investisseur dans les portefeuilles de créances reposant sur la technologie et un expert dans le traitement des créances impayées. Avec plus de 45 ans d’expérience et des sites dans 25 pays, EOS offre à ses 20 000 client·e·s dans le monde entier des services intelligents en matière de gestion des créances. Le groupe se concentre alors sur les banques ainsi que les entreprises des secteurs de l’immobilier, des télécommunications, des fournisseurs d'énergie et du commerce en ligne. EOS emploie plus de 6 000 personnes et fait partie du groupe Otto.Informations complémentaires sur le groupe EOS : eos-solutions.com
- Des progrès significatifs vers la numérisation complète du groupe d’entreprises
- Une année record dans le secteur du rachat de créances avec 669 millions d’euros au total investis dans les créances douteuses et l’immobilier
« Nous devons le succès de l’année dernière tout d’abord à nos plus de 6 000 collaborateurs qui permettent à EOS de travailler chaque jour de façon plus dynamique et plus numérique dans une période volatile », explique Marwin Ramcke, CEO du groupe EOS. « L’exercice écoulé se distingue principalement par trois aspects : tout d’abord, nous avons pu développer nos compétences clés dans l’achat et le traitement des créances en souffrance et faire nos preuves en tant qu’experts. Ce travail a été complété par une excellente collaboration internationale et une coopération transnationale entre nos sites situés dans 24 pays. Enfin, l’automatisation croissante nous a permis d’améliorer en continu nos processus commerciaux. Des performances dont nous tous, en tant qu’équipe, pouvons être très fiers dans une année de défis », poursuit Monsieur Ramcke.
EOS renforce sa position de leader et poursuit la numérisation
Avec le temps, le groupe EOS a acquis une très bonne réputation, aussi bien comme prestataire international de services de recouvrement que comme investisseur dans les cahiers de revendications (créances douteuses). Grâce à la solidité financière du groupe Otto, EOS a de nouveau pu réaliser des investissements significatifs sur le marché des créances douteuses. La nette focalisation sur l’automatisation des processus ainsi que l’utilisation d’un logiciel de recouvrement axé sur les données permettent également de traiter les créances de manière plus performante et plus efficace.« Nous avons fait des progrès prometteurs en ce qui concerne un référentiel commun de données analytiques qui nous aidera clairement à gérer nos activités à l’avenir. L’investissement qui y est associé était et reste une avancée significative vers la numérisation complète du groupe d’entreprises », déclare Justus Hecking-Veltman, CFO du groupe EOS. Le développement et l’utilisation de chatbots dans la communication avec les consommateur·rice·s ou de portails de service 24h/24 et 7j/7, qui ont déjà été mis en œuvre dans plusieurs pays, sont d’autres exemples de la transformation numérique de EOS.
Grâce à ses nombreuses années d'expertise en tant qu’entreprise de recouvrement et à sa focalisation sur la numérisation et la mise en réseau internationale, EOS a pu consolider et développer sa position de leader dans la gestion des créances sur de nombreux marchés au cours de l’exercice 2021/22. Celui-ci a notamment été une année record pour EOS dans le domaine du rachat de créances : Au total, le groupe a investi 669 millions d’euros dans des créances douteuses et dans l’immobilier au cours de cette période. Le volume de l’exercice précédent a été nettement dépassé avec ce résultat.
EOS met en œuvre un concept de durabilité ambitieux
Avec la stratégie de responsabilité d’entreprise (Corporate Responsibility - CR) présentée au début du dernier exercice, le groupe adopte une approche structurée et ambitieuse de son propre engagement en faveur de la durabilité. L’adhésion au Pacte mondial des Nations Unies souligne résolument les efforts d’EOS. Plus de 16 000 entreprises de plus de 160 pays participent aujourd’hui à cette initiative des Nations Unies, dont l’objectif est de rendre le monde plus durable et plus équitable. Les nombreuses activités de RSE d’EOS dépassent largement la protection de l’environnement et cet engagement social et entrepreneurial porte déjà ses fruits : avec le Top Women Leaders Awards et la médaille d’or de la célèbre agence de notation EcoVadis, le groupe EOS s’est déjà vu décerner deux distinctions au cours du précédent exercice pour ses efforts dans le domaine de la RSE.Les initiatives en matière de durabilité en cours seront poursuivies l’année prochaine. « Nous assumons nos responsabilités – non seulement pour nos propres employé·e·s et client·e·s, mais aussi pour les consommateur·rice·s et l’ensemble du secteur du recouvrement. Ou, pour résumer : Changing for the better », dit Monsieur Ramcke. « Personnellement, je souhaite avant tout faire évoluer le sujet de la diversité. C’est l’une des plus grandes forces de notre groupe international. Ainsi, des employé·e·s engagé·e·s ont fondé l’année dernière LGBTQ+ Community Queer@EOS et le réseau de femmes W:isible ».
Europe de l’Ouest : hausse significative du chiffre d’affaires et croissance continue
En Europe de l’Ouest, les sociétés nationales ont enregistré une croissance de 9 % de leur chiffre d’affaires. La France, l’Espagne et le Danemark ont annoncé notamment une nette augmentation de leurs résultats. Il y a eu d’importants effets de rattrapage dans le secteur des créances douteuses, liés à la diminution de la pandémie. Comme dans de nombreux autres pays d’Europe de l’Ouest, les tribunaux et les organes de recouvrement ont été longtemps inactifs en raison de la pandémie, le retour à une certaine normalité a beaucoup facilité le traitement des portefeuilles de créances douteuses acquis au cours des années précédentes et a fortement augmenté la performance opérationnelle dans des pays comme la France et la Belgique. « De plus, nous avons investi 144,5 millions d’euros dans des ensembles de créances et des biens immobiliers en Europe de l’Ouest. La société nationale d’EOS en Espagne a également acheté avec succès son premier portefeuille de créances douteuses garanti. C’est une étape importante pour la région », explique Dr Andreas Witzig, directeur du groupe EOS, responsable de l’Europe de l’Ouest. « Nous continuerons à renforcer notre position sur le marché des créances douteuses et à devenir encore plus actifs, notamment en ce qui concerne les créances garanties », souligne-t-il.De plus amples informations, des entretiens et des articles de fond sur l’exercice écoulé 2021/22 du groupe EOS sont disponibles dans la brochure virtuelle de l'exercice 21/22 :
À propos du groupe EOS
Le groupe EOS est un important investisseur dans les portefeuilles de créances reposant sur la technologie et un expert dans le traitement des créances impayées. Avec plus de 45 ans d’expérience et des sites dans 24 pays (état : fin de l’exercice 2021/22), EOS offre à ses 20 000 client·e·s dans le monde entier des services intelligents en matière de gestion des créances. Le groupe se concentre alors sur les banques ainsi que les entreprises des secteurs de l’immobilier, des télécommunications, des fournisseurs d'énergie et du commerce en ligne. EOS emploie plus de 6 000 personnes et fait partie du groupe Otto.Informations complémentaires sur le groupe EOS : eos-solutions.com
Personnalité de leader avec une longue expérience de la finance
Andreas Hasler dispose d'une riche expérience de direction internationale ainsi que de connaissances approfondies dans les domaines de la finance, de la gestion des risques, des ventes et du marketing ainsi que dans la gestion de la conformité et du reporting financier. De nationalité suisse, avec ses 48 ans, il a occupé pendant une quinzaine d'années différentes fonctions dans des entreprises financières du groupe Ford, la dernière étant celle de CEO de Ford Bank Austria à Salzbourg.Chez EOS Suisse, Hasler va renforcer l'innovation et la digitalisation, y compris la mise en place de processus de recouvrement basés sur l'intelligence artificielle.
Sept années de succès
Après 14 ans passés chez EOS Suisse / Alphapay, dont 7 ans en tant que CEO, Alex Schneider quitte EOS pour relever un nouveau défi. Le président du conseil d'administration, Andreas Witzig, a déclaré : "Je remercie Alex Schneider pour son engagement de longue date en faveur d'EOS, notamment au cours des 7 dernières années en tant que CEO. Je lui souhaite beaucoup de succès dans ses nouvelles tâches".Über EOS Schweiz
EOS Schweiz zählt zu den führenden Schweizer Dienstleistern im Forderungsmanagement und ist Experte bei der Bearbeitung offener Forderungen. EOS ist an 3 Standorten in der Romandie, der Deutschschweiz und im Tessin präsent und beschäftigt zurzeit rund 100 Mitarbeitende.EOS Schweiz ist Teil der EOS Gruppe, die mit Standorten in 24 Ländern ihren rund 20.000 Kund*innen weltweit smarte Services rund ums Forderungsmanagement bietet. Im Fokus stehen Banken sowie Unternehmen aus den Bereichen Immobilien, Telekommunikation, Energieversorgung und E-Commerce. Die EOS Gruppe beschäftigt mehr als 6‘000 Mitarbeiter*innen und gehört zur Otto Group.
Weitere Informationen über EOS Schweiz: eos-schweiz.com
Weitere Informationen zur EOS Gruppe: eos-solutions.com
Modified design reflects how EOS has changed
The Group, which reported revenues of €792.5 million in fiscal 2020/21, aims to complete its worldwide brand rollout within the next 12 months. “I am delighted that the Board of Directors opted against an evolutionary development of the brand but instead took the plunge and embraced a disruptive design,” says Lara Flemming, Senior Vice President Corporate Communications & Marketing at EOS. “If we had merely tweaked the brand, we would not have done justice to the huge transformation that EOS has undergone in recent years. Now we can hardly wait to work with our international colleagues to make the new EOS brand visible at all touchpoints.”New logo stands for internationality, focus and dynamism
The new logo was released from the box that had framed the letters for years. “Nothing should stand in the way of our mindset and actions,” says Flemming. The lowercase ‘e’ in the new EOS logo embodies our internationality and ongoing digitalization. “In English, the ultimate global language, most words are written in lower case,” explains Flemming. “In addition, the lowercase ‘e’ is also familiar from business terms like e-commerce, where it stands for electronic, or digital processes. We felt that it was very fitting to write our company name in lowercase letters in the logo in future.” The large ‘O’ in the center of the logo symbolizes EOS’ focus and strong purpose. The unfinished ‘s’ at the end gives the logo momentum. It reflects the thirst for change of a company that has constantly reinvented itself since it was established in 1974. “Today, the world is changing faster than ever. And we are actively shaping this change. The ‘s’ in the logo says that our development will never be finished and we will always strive to adapt to circumstances,” says CEO Ramcke. “With the new brand, we are emphasizing that we want to continue to set standards, in the entire European financial sector, over and beyond the debt collection segment.”About EOS Group
The EOS Group is a leading technology-driven investor and service provider in the receivables management industry. With over 45 years of experience, EOS offers some 20,000 customers in 24 countries around the world smart services for all their receivables management needs. Its key target sectors are banking, real estate, telecommunications, utilities and e-commerce. EOS employs more than 6,000 people and is part of the Otto Group.For more information on EOS Group, please go to: eos-solutions.com
- Deux entreprises européennes sur trois dans le secteur de la clientèle privée utilisent les chatbots dans leur communication avec leurs client·e·s
- Une requête client sur deux quasiment est déjà entièrement résolue par les chatbots
- La pression augmente : 61 pour cent des entreprises interrogées sont convaincues qu’à long terme, chaque grande société devra proposer un chatbot.
« Depuis le déploiement de notre chatbot Tom, les appels vers notre centre de services sont en recul », déclare Wesley van de Walle, responsable de projet auprès de la société belge EOS Contentia. « En moyenne, Tom a plus de 300 entretiens par mois avec des débiteurs et débitrices défaillant·e·s concernant des demandes simples. Depuis sa dernière mise à jour, il est de plus directement intégré dans notre système de recouvrement et peut à présent traiter des données personnelles. Après s’être identifié·e·s, les utilisateurs et utilisatrices sont informé·e·s sur demande du montant de leurs dettes, de la date d’échéance du prochain paiement ou des coûts engendrés. Une véritable plus-value », explique M. van de Walle.
Les chatbots sont particulièrement populaires en Pologne et en Suisse
La comparaison au niveau européen de l’étude d’EOS fait ressortir des différences lors de l’utilisation de cette technologie : tandis que la Pologne et la Suisse sont en haut de la liste avec un taux d’utilisation de plus de 70 pour cent, la France (54 pour cent) et la Russie (46 pour cent), quant à elles, sont plus réservées. Actuellement, ces assistants numériques sont essentiellement utilisés comme premier contact (97 pour cent), suivi par le service clientèle (51 pour cent) et le conseil produits (39 pour cent).Les défis : ce qui freine encore les chatbots
Les entreprises interrogées voient les plus grands défis auxquels l’utilisation des chatbots fait face dans la protection des données (70 pour cent), suivie du remaniement de leur structure des données nécessaire à l’implantation (59 pour cent). Le coût des investissements, quant à lui, constitue rarement un obstacle : 27 pour cent des entreprises seulement estiment que les coûts d’introduction d’un chatbot sont « élevés », et uniquement trois pour cent ont renoncé à utiliser cette technologie pour des raisons financières.« La conformité aux exigences élevées en matière de protection des données est une évidence pour EOS. Le défi lors du développement du chatbot dans notre secteur aux données sensibles est de trouver l’équilibre entre une utilisation facile et la sécurité nécessaire », explique Franjo Glibo, directeur du service informatique d’EOS en Croatie et responsable de son chatbot. « Les entreprises doivent communiquer ouvertement avec les consommateurs et consommatrices et mettre en évidence l’avantage de confier leurs données. Chez EOS, par exemple, elles peuvent être utilisées pour une gestion individuelle optimisée des créances, avec des avantages également pour les débiteurs et débitrices défaillant·e·s. »
Des chatbots de plus en plus intelligents : une technologie d'avenir
Selon l’étude d’EOS sur les chatbots 2021, actuellement les entreprises utilisent essentiellement des chatbots d’un degré d’intelligence moyen (57 pour cent), dont les tâches résident dans la présélection thématique et la gestion des prestations partielles. Les expert·e·s d’EOS ne sont pas les seul·e·s à penser qu’ils ou elles devraient encore s’améliorer à l’avenir. En effet, 88 pour cent des sociétés interrogées lors de l’étude prévoient de poursuivre le développement de leurs chatbots. Dans tous les pays, les entreprises interrogées s'accordent pour dire que la signification des chatbots va continuer à augmenter au cours des 24 prochains mois, de même que leur acceptation auprès des client·e·s. 61 pour cent d’entre elles sont de plus convaincues que toute grande société devrait, à moyen terme, proposer un chatbot.À propos de l’étude représentative d’EOS sur les chatbots 2021 :
Cette étude représentative d’EOS a été réalisée d’avril à juin 2021 dans 14 pays européens. Pour cela, 200 entreprises de B2C ont été interrogées lors d’entretiens téléphoniques assistés par ordinateur. Les 2 800 décideur·se·s d’Allemagne, du Danemark, de Belgique, de Suisse, d’Espagne, de France, de Pologne, de Slovaquie, de Slovénie, de Croatie, de Hongrie, de Bulgarie, de Roumanie et de Russie ont, entre autres, répondu à des questions sur l’utilisation des chatbots, leur acceptation par les utilisateurs et utilisatrices et les chances qu’ils constituent pour l'avenir.Plus d'informations
À propos du groupe EOS
Le groupe EOS est l’un des principaux investisseurs financiers reposant sur la technologie et les meilleur·e·s expert·e·s dans le traitement des créances impayées. Il met l’accent sur l’achat de portefeuilles de créances non garanties et garanties. Avec plus de 45 ans d’expérience et des sites dans 26 pays, EOS offre à ses 20 000 client·e·s dans le monde entier des services intelligents en matière de gestion des créances. Le groupe se concentre alors sur les banques ainsi que les entreprises des secteurs de l’immobilier, des télécommunications, de l’alimentation en énergie et du commerce en ligne. EOS emploie plus de 6 800 collaborateurs et collaboratrices et fait partie du groupe Otto.Informations complémentaires sur EOS : eos-schweiz.com
Contact presse
Basil Schneuwly, Manager Marketing & CommunicationE-Mail: b.schneuwly@eos-solutions.com
Tel.: + 41 58 411 73 03
- Une grande opportunité pour les entreprises : plus d’un tiers des consommateurs approuve l’idée d’une « contrepartie pour les données »
- La majorité est prête à vendre au moins une information personnelle à des entreprises dignes de confiance
- La volonté de partager des données dépasse parfois même la demande
La confiance et la rémunération comme moteurs d’une divulgation renforcée des données
Pour que les personnes soient disposées à divulguer des données personnelles, il est essentiel qu’elles aient confiance dans le traitement responsable des données et dans le respect des directives légales. Selon l’enquête EOS, la grande majorité des consommateurs vendraient au moins une information personnelle à une entreprise de confiance contre de l’argent (Europe : 82 %, États-Unis : 75 %, Russie : 90 %). Les informations considérées comme les plus anodines sont la divulgation des décisions d’achat et les préférences en matière de produits et de marques. Cependant, les données de comptes ou de cartes de crédit ainsi que les renseignements sur les comptes bancaires doivent être particulièrement protégés. Interrogées sur la rémunération souhaitée, plus de la moitié des personnes sont essentiellement intéressées par des primes en nature et des remises, tandis que les prestations de services sont moins demandées et ne sont envisagées que par environ 20 % des personnes dans l’ensemble des régions.L’analyse des données comme base d’une gestion moderne des créances
Le regard porté sur la gestion des créances montre qu’il est intéressant pour les entreprises de motiver les consommateurs à divulguer des données. Les raisons sont les suivantes : plus les données disponibles sur l’acheteur d’un produit ou d’une prestation sont exactes, plus l’acheteur peut être joint rapidement en cas de défaut de paiement. En outre, plus il existe de valeurs empiriques issues de cas de créances comparables, plus l’échéancier de paiement proposé est adapté à la situation financière du client. Résultat : celui-ci est respecté de manière plus fiable. Le Center of Analytics joue donc un rôle central chez le prestataire de recouvrement de créances EOS. Sa plateforme utilise des algorithmes d’apprentissage automatique pour évaluer des milliers de processus de recouvrement de créances et ainsi calculer les meilleures étapes de traitement suivantes.La volonté de partager des données dépasse parfois même la demande
Selon l’enquête EOS, un consommateur sur cinq s’est déjà vu proposer une rémunération pour divulguer certaines données. En Europe, l’Espagne et la Roumanie se distinguent dans ce domaine. Dans ces pays, il s’agit même d’une personne sur quatre. Parfois, la volonté de partager des données dépasse cependant l’offre de contrepartie réelle des entreprises. « J’y vois encore d’importantes opportunités et un potentiel inexploité », souligne Joachim Göller.À propos de l’enquête représentative EOS « Que valent les données ? » de 2020
L’enquête EOS, menée au printemps 2020 en coopération avec l’institut d’études de marché Kantar, est représentative de la population (en ligne) âgée de 18 ans et plus dans les 17 pays étudiés. Un échantillon de 1 000 personnes interrogées de Belgique, Bulgarie, Allemagne, France, Grande-Bretagne, Croatie, Pologne, Roumanie, Russie, Suisse, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Espagne, République tchèque et des États-Unis, ainsi que 300 personnes interrogées de Macédoine du Nord, a été évalué. Les participants/participantes ont répondu à des questions sur leur gestion personnelle et le partage de leur données, leur confiance dans les entreprises et leur volonté de vendre des données contre rémunération.Vous pouvez trouver plus d'informations sur l'enquête ici.
À propos du groupe EOS
Le groupe EOS est l’un des principaux investisseurs financiers reposant sur la technologie et des meilleurs experts dans le traitement des créances impayées. Il met l’accent sur l’achat de portefeuilles de créances non garanties et garanties. Avec plus de 40 ans d’expérience et des sites dans 26 pays, EOS offre à ses 20 000 clients dans le monde entier des services intelligents en matière de gestion des créances. Les principaux secteurs cibles sont les banques, les entreprises d’approvisionnement, l’immobilier et le commerce électronique. EOS emploie plus de 7 500 collaboratrices et collaborateurs et fait partie du groupe Otto.Pour plus d’informations sur le groupe EOS : eos-solutions.com
- Seuls 31 % des Suisses font confiance aux entreprises pour traiter les données numériques.
- Les banques et les fournisseurs d'énérgie bénéficient de la plus grande confiance. Les perdants du classement de la confiance sont les entreprises de télécommunications, les commerçants en ligne, les réseaux sociaux et les messageries
Des différences de niveau de confiance selon le secteur et le type de données
En ce qui concerne les secteurs, il existe des différences significatives : les banques et les prestataires de services financiers bénéficient de la plus grande confiance dans la gestion des données clients (Europe : 54 %, États-Unis : 56 %, Russie : 54 %), mais non sans limite dans tous les pays. Les fournisseurs d’énergie et les compagnies d’assurance s’en tirent aussi assez bien (moyenne de 39 % dans tous les pays). En revanche, les entreprises de télécommunications (moyenne de 28 %), le commerce en ligne (moyenne de 21 %) ainsi que les réseaux sociaux et les messageries (moyenne de 14 %) ne bénéficient que d’une faible confiance. Le fait que ces derniers permettent néanmoins une divulgation des données (coordonnées, profils de mouvements, comportement d’achat et de navigation) s’explique par le fait que les utilisateurs considèrent ces données comme moins sensibles. Au niveau mondial, les données financières sont considérées comme celles qui doivent être plus particulièrement protégées.L’économie des données et la qualité des services créent la confiance
Les prestataires de services financiers, en particulier, bénéficient ainsi d’une confiance accrue en ce qui concerne l’utilisation des données. Cependant, ils doivent optimiser leurs processus en utilisant autant de données que possible tout en évitant les demandes de données inutiles. EOS est également confronté à ce défi. Dans le monde entier, environ 60 collaborateurs travaillent dans les domaines de la protection des données et de la sécurité des informations pour le prestataire de services de recouvrement de créances, également commanditaire de l’étude. « Afin d’établir une relation de confiance avec nos clients et les consommateurs, l’économie des données est un enjeu important chez EOS dès le début des projets. Au lieu de respecter la devise « mieux vaut avoir que ne pas avoir », nous poursuivons une approche de minimisation et ne collectons des données que dans un but précis », explique Stephan Bovermann, Senior Group Privacy Officer du groupe EOS. Avec ses collègues, il est chargé de garantir la protection des données dans les 26 pays du monde où EOS. Mais selon lui, la gestion responsable des données n’est qu’une partie des mesures nécessaires pour créer la confiance. « La qualité élevée des produits et des services contribue à avoir confiance dans une entreprise, tout comme le soin avec lequel elle gère les données qui lui sont confiées », souligne Monsieur Bovermann.Minimisation des données par le biais de portails numériques en libre-service
Les portails de service d’EOS, sur lesquels les payeurs défaillants peuvent régler leurs créances impayées, sont un exemple de l’approche de minimisation des données. Seules les données nécessaires au processus de paiement y sont collectées. Cela établit une confiance, affirme Esther van Oirsouw, Head of Portals & Integration chez EOS Technology Solutions : « Nos portails en ligne permettent aux payeurs défaillants d’accéder facilement et de manière autonome à leurs créances. Après avoir saisi le numéro de dossier individuel, les paiements peuvent être effectués en quelques clics seulement. Pour la grande majorité des modes de paiement proposés, aucune donnée à caractère personnel ne doit être saisie. Cela facilite le traitement, car nous le savons par expérience : plus nous permettons l’autonomie et la flexibilité, plus le taux de paiement est élevé et plus la confiance en nos services est grande. »Des actions nécessaires indépendamment des frontières nationales
Comme le montre l’étude, gagner et développer la confiance numérique reste un défi majeur pour de nombreuses entreprises. Dans tous les pays, la méfiance et le scepticisme des consommateurs demeurent élevés. Pourtant, nous le savons : le monde numérique met tout le monde sur un pied d’égalité. Quiconque veut faire partie du cosmos numérique rencontre les mêmes acteurs mondiaux et est soumis à leurs règles. De nombreuses personnes interrogées ont le sentiment qu’elles n’ont souvent pas le choix lorsqu’il s’agit de partager leurs données : environ deux tiers des Européens (66 %) et des Américains* (58 %) et quatre consommateurs russes sur cinq (81 %) se plaignent de ne pas pouvoir utiliser certains services en ligne sans partager de données. De plus, environ 60 % estiment qu’ils ne sont pas suffisamment informés pour empêcher ou limiter le partage des données.À propos de l’enquête représentative EOS « Que valent les données ? » de 2020
L’enquête EOS, menée au printemps 2020 en coopération avec l’institut d’études de marché Kantar, est représentative de la population (en ligne) âgée de 18 ans et plus dans les 17 pays étudiés. Un échantillon de 1 000 personnes interrogées de Belgique, Bulgarie, Allemagne, France, Grande-Bretagne, Croatie, Pologne, Roumanie, Russie, Suisse, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Espagne, République tchèque et des États-Unis, ainsi que 300 personnes interrogées de Macédoine du Nord, a été évalué. Les participants/participantes ont répondu à des questions sur leur gestion personnelle et le partage de leur données, leur confiance dans les entreprises et leur volonté de vendre des données contre rémunération.Vous pouvez trouver plus d'informations sur l'enquête ici.
À propos du groupe EOS
Le groupe EOS est l’un des principaux investisseurs financiers reposant sur la technologie et des meilleurs experts dans le traitement des créances impayées. Il met l’accent sur l’achat de portefeuilles de créances non garanties et garanties. Avec plus de 40 ans d’expérience et des sites dans 26 pays, EOS offre à ses 20 000 clients dans le monde entier des services intelligents en matière de gestion des créances. Les principaux secteurs cibles sont les banques, les entreprises d’approvisionnement, l’immobilier et le commerce électronique. EOS emploie plus de 7 500 collaboratrices et collaborateurs et fait partie du groupe Otto.Informations complémentaires sur le groupe EOS : eos-solutions.com